"Les établissements imaginent différents systèmes pour alimenter la caisse de solidarité, avec quelques dérapages. Organiser une fête ou un événement, c’est replonger dans le portefeuille des parents à qui ces événements sont principalement destinés… "Les plus pauvres sont de facto exclus de ces activités", critique Christine Mahy du réseau wallon de lutte contre la pauvreté, qui insiste aussi sur la discrétion qui doit protéger toute demande d’aide. Et pas question que celle-ci doive être justifiée." Lire l'article ICI