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L’habitude de payer en argent liquide se perd. Les moyens de paiement sont de plus en plus diversifiés et se numérisent. Mais est-ce vraiment une bonne chose ? Cela pourrait causer de nombreux problèmes et notamment pour les personnes les plus précaires, qui sont non bancarisées et qui dépendent du cash pour vivre, mais aussi les ménages à faibles revenus et les seniors. On en parle avec Christine MAHY du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté

Ecouter l'interview complet ICI

 

Plus de 140 citoyen.ne.s, académiques, associations, personnalités et tous les syndicats agricoles exigent du Gouvernement wallon l’arrêt de l’artificialisation des terres fertiles dans le village de Hondelange et partout ailleurs en Wallonie

23 ha de terres agricoles menacées près d’Arlon : il appartient au Gouvernement wallon de mettre fin à l’accaparement des terres fertiles !

Dans le village de Hondelange, plusieurs familles d’agriculteur.trice.s risquent de perdre 23 ha de terres agricoles reconnues de très bonne qualité, en raison du projet d’extension du parc d’activité économique (PAE) Weyler-Hondelange porté par IDELUX, l’intercommunale de développement de la Province de Luxembourg. Un bois de 5 ha pourrait également faire les frais de l’agrandissement du parc d’activité (ou zoning). Comme ces terres sont inscrites en zone agricole au plan de secteur, une modification de ce dernier est requise. Le Gouvernement wallon a annoncé qu’il se prononcera en avril.

En Wallonie, un peu plus de 100.000 ha sont encore constructibles. La lutte contre le dérèglement climatique, la préservation de la biodiversité et l’atténuation des risques d’inondations, notamment, ont amené les responsables politiques à déclarer vouloir progressivement mettre fin à l’artificialisation des sols. Une réflexion est en cours sur la façon dont le nombre des terres constructibles peut être réduit, dans une perspective « d’optimisation spatiale ». A contre-courant de ce mouvement, le projet d’IDELUX vise la bétonisation de terres fertiles actuellement non
constructibles. Comme le prévoit la loi, des compensations sont envisagées mais celles-ci s’avèrent en l’occurrence totalement fictives, les prairies – inondables – proposées comme compensation n’auraient jamais accueilli de construction et sont tout à fait impropres à une agriculture nourricière, précisément parce que régulièrement inondées.

Les agriculteur.trice.s menacé.e.s par IDELUX sont issus de familles paysannes installées depuis plusieurs générations, avec des enfants qui ont déjà repris ou vont reprendre les exploitations. Les deux fermes principalement concernées sont en polyculture, élevage et
bétail viandeux de race limousine. La partie bétail est en agriculture biologique et l’exploitation est autonome pour l’alimentation du bétail ; le fumier des bovins permet de fertiliser les prairies et les cultures. Le blé, en partie bio, en partie labellisé « de terroir », est
vendu au moulin tout proche de Kleinbettingen. Le changement vers une agriculture de conservation des sols est en cours : un travail minimum des sols et un maximum de couverts végétaux, pour préserver la vie dans le sol, conserver ses propriétés physiques et augmenter les taux d’humus.

Alors que se pose la question de l’autonomie alimentaire, faut-il rappeler que la FAO classe la Belgique parmi les pays les moins autosuffisants pour leur alimentation ? Artificialiser 23 ha de terre agricole équivaut à se rendre encore un peu plus dépendant des aléas de la géopolitique et de l’économie mondiale, en contradiction totale avec les intentions affichées de la Région wallonne.

Faut-il par ailleurs rappeler que le prix des terres agricoles, objet de spéculation, ne cesse d’augmenter, a fortiori dans cette région frontalière du Luxembourg, avec une totale impossibilité pour les fermiers de retrouver de bonnes terres ?

A cette réalité, IDELUX oppose la nécessité de répondre à la demande d’espaces pour implanter l’activité économique, passant sous silence que l’activité agricole l’est aussi. Les PME ne disposeraient plus de lieux où s’établir dans les environs d’Arlon ; il conviendrait donc impérativement d’agrandir le PAE Weyler-Hondelange.

Sans aborder ici la question de la nature-même des activités accueillies sur le zoning, ni celle de leur impact effectif sur l’emploi, ni encore les problématiques de l’écoulement des eaux et de la mauvaise desserte en transports publics des lieux, relevons simplement qu’IDELUX n’a eu de cesse, au cours de la procédure d’examen de la demande, de gonfler artificiellement les chiffres concernant la demande d’espaces pour les entreprises et, à l’inverse, de sous-évaluer l’offre de terrains disponibles. Le pôle Environnement du Conseil économique, social et environnemental de Wallonie a relevé, dans son récent avis défavorable, que des
terrains peuvent être trouvés ailleurs à proximité, que ceux-ci soient directement urbanisables ou non, comme les friches industrielles ou ferroviaires. Mais IDELUX a tendance à agir comme un promoteur immobilier, privilégiant les espaces à haut potentiel de plus-value, c’est-à-dire, les plus faciles à mettre en œuvre. Pas surprenant pour une intercommunale qui finance son secteur Développement par le bénéfice engendré sur la vente de terrains, acquis et équipés grâce à diverses aides publiques. De ce point de vue, il est interpellant que l’autorité régionale ne cherche pas à faire évoluer les modes de financement des intercommunales de développement, afin de les pousser à enfin devenir plus économes en artificialisation des terres.

Récemment, pour contrer les nombreuses oppositions manifestées à l’encontre du projet, l’intercommunale a proposé un phasage, c’est-à-dire une occupation progressive. Cette approche est un leurre : elle aboutirait à concentrer toute nouvelle implantation à cet endroit afin d’en justifier la nécessité et à toujours ignorer les espaces disponibles ou mobilisables ailleurs. En somme, voici un organisme public qui agit, in fine, pour assurer sa propre existence, une structure qui fonctionne sur et pour soi. Pour preuve : alors même que les deux communes concernées, Messancy et Arlon ont officiellement fait connaître leur opposition à l’artificialisation des meilleures terres agricoles, l’intercommunale s’obstine à maintenir inchangée sa demande de modification du plan de secteur.

Cet entêtement est d’autant moins compréhensible que la population locale s’est largement mobilisée pour soutenir les agriculteur.trice.s menacé.e.s. Plus de 3500 signatures ont été
réunies pour appuyer une demande d’audition au Parlement wallon (un record), tandis que l’enquête publique avait déjà suscité quelque 2400 oppositions.

Saisie du dossier, la Commission de l’économie, de l’aménagement du territoire et de l’agriculture de l’assemblée wallonne s’est cantonnée à rappeler la compétence du gouvernement régional, ses membres ne parvenant pas à s’accorder pour formuler des
recommandations à l’attention de l’exécutif. Pourtant, la lutte contre le changement climatique, la préservation de la biodiversité et la souveraineté alimentaire sont des exigences supérieures qui requièrent des décisions fermes et concrètes. Le gouvernement ne
pourra ignorer l’importante mobilisation citoyenne et les demandes claires des communes en faveur de la protection de bonnes terres à Hondelange. Il lui appartient de préserver cette ressource nourricière et de permettre ainsi aux fermier.ière.s de poursuivre leur activité
essentielle dont chacun.e de nous est dépendant.e au quotidien !

* Pour voir les signataires ICI

Le Vif / La Libre

 
"Déjà avant le début de la crise de l’énergie, nos organisations revendiquaient l’élargissement permanent du tarif social à tous les bénéficiaires du statut BIM.
tarifsocial
Cette recommandation était par ailleurs également portée par la Plateforme de lutte contre la précarité énergétique de la Fondation Roi Baudouin, qui fédère tous les acteurs du secteur de l’énergie (fournisseurs, régulateurs, CPAS, secteur associatif de lutte contre la pauvreté…) des trois régions. Mieux encore, nous souhaitons que ce tarif soit octroyé sur la base des revenus du ménage et ce de façon automatique, en complément de l’octroi actuel sur la base de statuts sociaux."
 
à l'initiative de la @CoordinationGaz-Electricité-EauBruxelles , le RWLP est l'une des ASBL signataires.
 
 

Le 6 février, le gouvernement fédéral a décidé de supprimer progressivement l'extension du tarif social au statut BIM. Cela signifie qu’environ 400 000 familles dont le revenu est inférieur ou égal au seuil de pauvreté (soit 800 000 personnes au total) seront poussées plus encore dans la pauvreté. Pour les réseaux de lutte contre la pauvreté réunis au sein de BAPN , il est incompréhensible que cette mesure soit supprimée sans politique structurelle en contrepartie.

L'un des arguments du gouvernement fédéral pour revenir sur l'élargissement du tarif social est que les prix de l'énergie sont en baisse. C’est ignorer le fait que la pauvreté énergétique est un problème majeur dans notre société et cela avant même la crise du Covid où une famille sur cinq avait déjà de grandes difficultés à payer ses factures d'énergie. Les crises successives (covid, inflation, énergie, inondations en 2021, sécheresse en 2022,...) qui ont entraîné une augmentation exponentielle du coût de la vie n'ont fait qu'aggraver ce problème. En outre, l'évolution des prix de l'énergie reste très incertaine, alors que les prix d’autres produits de base, comme les denrées alimentaires, sont toujours en hausse. Ces coûts pèsent lourdement sur le budget des personnes en situation de pauvreté, notamment sur les 400 000 familles qui paieront bientôt beaucoup plus pour leurs factures d'énergie.

Nos organisations regrettent également que la suppression progressive du tarif social élargi crée des inégalités entre les familles ayant des revenus similaires. L'élargissement du tarif social est justement une bonne mesure, car elle protège les personnes en situation de pauvreté contre la précarité énergétique, en fonction de leurs revenus (et pas seulement de leur statut). Les personnes ayant un faible revenu avec un emploi précaire ou temporaire seront particulièrement impactées par cette décision. Pour nos organisations, dans le contexte actuel, il est difficile de comprendre pourquoi le gouvernement ne rend pas structurelle une mesure ciblée visant à protéger les plus fragilisés de notre société, tout en maintenant une baisse générale de la TVA, une mesure coûteuse qui s'applique aussi aux personnes qui n'en ont pas besoin.

À court terme, la suppression de tarif social élargi pourra peut-être apporter un léger soulagement au budget public, mais à moyen et long terme, les coûts sociaux seront énormes. Ces familles appauvries auront encore plus de mal à payer leurs factures, ce qui entraînera une augmentation des dettes, du stress et des problèmes sur le plan de la santé mentale, du report de soins de santé, des expulsions et des situations de sans-abrisme, etc.

Les réseaux de lutte contre la pauvreté réunis au sein de BAPN demandent donc au gouvernement fédéral de revoir d'urgence cette décision et de travailler sur des mesures structurelles comme:

  • Relever les revenus et les allocations les plus faibles au-dessus du seuil de pauvreté européen
  • Un pacte logement-énergie porté par les différents gouvernements de notre pays impliquant des investissements massifs dans l'isolation des bâtiments, à commencer par les logements du marché privé et public destinés aux personnes à faibles revenus et à la classe moyenne inférieure.
  • Impliquer les personnes en situation de pauvreté et les organisations qui les représentent dans la réforme du tarif social

Dans la presse: RTBF  /  MOUSTIQUE

 

Bruxelles, 31 janvier 2023

A l'initiative du BAPN (Réseau Belge de Lutte contre la Pauvreté) [1], la ministre fédérale Karine Lalieux, en charge de la lutte contre la pauvreté, s'est rendue le 31/1/2023 pour discuter avec des personnes ayant une expérience de la pauvreté issues d'associations bruxelloises, flamandes et wallonnes. Ils ont discuté de la mise en oeuvre du plan fédéral de lutte contre la pauvreté et l’inégalité. Ce plan est essentiel pour la lutte contre la pauvreté en Belgique, car il donne une orientation et comprend les mesures à prendre au niveau fédéral.

20230131 ontmoeting minister Lalieux en armoedenetwerken

Un groupe croissant de personnes en situation de pauvreté, qui comprend également de plus en plus de personnes issues de la classe moyenne inférieure, éprouve des grandes difficultés à survivre dignement dans cette crise du pouvoir d'achat. Il est donc positif que la ministre utilise l'expertise et l'expérience de ces personnes pour poursuivre la mise en oeuvre du plan fédéral de lutte contre la pauvreté.

La ministre et les participants ont eu un échange intensif sur des questions urgentes que sont le sans-abrisme, l'accès difficile aux soins de santé pour les personnes ayant un statut de résidence précaire, les seuils de l'aide sociale du CPAS, la fracture numérique, la baisse du pouvoir d'achat et la pauvreté énergétique.

Fernando : “Je veux et je peux travailler, mais je n'ai pas d'adresse de référence et ne peux donc pas sortir du cycle du sans-abrisme. Je n'ai jamais été sans abri auparavant.”

Anne: “Je suis une mère seule avec deux enfants. Je n'ai pas de compteur à budget et aucun moyen de le recharger. L'électricité a été coupée. Alors que l'enquête sociale est en cours, je n'ai pas d'électricité.”

Anahit: “J'aimerais vraiment inscrire mes enfants aux plaines de jeux, mais je ne sais pas comment le faire sur l'ordinateur. Je prends rendez-vous avec mon assistante sociale, et ensemble nous faisons l'inscription. Ensuite, les e-mails de confirmation, les instructions de paiement, etc. arrivent également sur son ordinateur, et je dois y aller à chaque fois pour tout récupérer.”

Les réseaux de lutte contre la pauvreté ont discuté des recommandations politiques avec la ministre, sur la base des contributions et des expériences des personnes en situation de pauvreté. Ainsi, le BAPN a formulé six recommandations à l'intention de la ministre:

  •  un meilleur accès à l'adresse de référence pour les personnes sans abri ;
  •  renforcer les compétences numériques par une approche sur mesure pour les personnes vulnérables ;
  •  un meilleur accès aux soins de santé pour les personnes sans papiers ;
  •  une aide plus attentive de la part des services sociaux du CPAS ;
  •  ancrer l'extension du tarif social de l'énergie pour les personnes en situation de pauvreté et une extension progressive aux personnes de la classe moyenne inférieure qui ne peuvent plus joindre les deux bouts ;
  •  un pacte logement-énergie au service d'une politique climatique socialement juste.

En outre, étant donné l'importance de l’expertise des personnes en situation de pauvreté pour parvenir à une mise en oeuvre efficace du plan fédéral de lutte contre la pauvreté et l'inégalité, le BAPN a demandé que la participation des personnes en situation de pauvreté soit inscrite dans la loi que la ministre veut créer afin que le gouvernement fédéral soit obligé d'adopter un plan fédéral de lutte contre la pauvreté et l'inégalité à chaque législature. La ministre a déclaré l'importance accordée à la participation directe des personnes en situation de pauvreté à la politique de lutte contre la pauvreté et s'est engagée à poursuivre le dialogue.

Ministre Lalieux: “Il est très important pour moi de rencontrer des personnes ayant une expérience de la pauvreté. Leur contribution est toujours une source d'inspiration pour mes politiques de lutte contre la pauvreté. Chaque jour, ils vivent la réalité de la pauvreté. En tant que ministre j'en tiens toujours compte. Nous avons alors rédigé un plan fédéral de lutte contre la pauvreté et les inégalités ensemble avec les personnes concernées et avec des représentants de la société civile.” Les réseaux de lutte contre la pauvreté continueront à prendre le pouls de la ministre pour lutter ensemble contre la pauvreté.

Contact : Caroline Van der Hoeven - Tel: +32 (0)2 265.01.53 GSM: +32 (0)474 55.96.11 Email: caroline.vanderhoeven@bapn.be

[1] BAPN représente aux niveaux fédéral et européen les quatre réseaux régionaux de lutte contre la pauvreté et leurs associations membres où les personnes en situation de pauvreté prennent la parole. Il s'agit des réseaux suivants : le Netwerk tegen Armoede (NTA), le Réseau de Lutte contre la Pauvreté (RWLP), le Forum - Bruxelles contre les Inégalités (Le Forum), le Brussels Platform Armoede (BPA).

BAPN fait également partie du Réseau européen de lutte contre la pauvreté (EAPN).

 

 

  Portrait d'une femme militante, portrait d'une travailleuse du RWLP, portrait de Virginie Timsonet à découvrir dans Le Ligeur.

Pour- lire l'article complet ICI et

 

La hausse des prix de l’énergie perdure et s’aggrave. Elle engendre des conséquences dramatiques pour les citoyen∙ne∙s, en particulier les plus vulnérables : les factures sont impayables, se chauffer est un luxe, la douche chaude un privilège.

Une part de plus en plus significative de la population belge est habitée par la crainte de ne pas pouvoir faire face à ses factures de gaz et d’électricité. Les ménages aux revenus modestes s’inquiètent aussi désormais de voir arriver leur facture de régularisation. Sans parler des indépendants, des artisans, des associations, des PME… qui peinent à maintenir leurs activités à flot, ou encore des travailleurs des grandes entreprises, dont plusieurs sont en difficultés et pourraient décider de licenciements.

Après les craintes et la peur, c’est la colère que les consommateurs expriment. Ils refusent légitimement d’assumer la grave erreur de la libéralisation du marché de l’énergie, et de subir davantage les coups portés par la crise énergétique tandis que les producteurs d’énergie engendrent d’indécents surprofits.

La crise entame tous les jours un peu plus le droit de mener une vie conforme à la dignité humaine ainsi que le droit à un logement décent. Le Réseau wallon pour l’accès durable à l’énergie appelle au rassemblement de toutes les forces constructives pour poursuivre quatre priorités:

1/ Taxer à 100% les surprofits réalisés par les géants de l’énergie

2/ Réguler les prix du gaz et de l’électricité

3/ Libérer rapidement les moyens nécessaires à l’isolation des logements

4/ Sortir de la libéralisation

Lire la carte blanche complète

Avec Le RWADE, MOC, Solidarité Nouvelle, FDSS, Equipe populaire, REVERT, Canopea, FGTBwallonne, Empreintes, CSC, Miroir Vagabond et le RWLP.

 
Nous vivons toutes et tous une crise énergétique qui vient s'ajouter à la crise sociale que nous vivons déjà depuis plusieurs années, augmentant considérablement le stress de toutes et tous.
Dans ce reportage la journaliste donne la parole à des citoyen.ne.s et à des associations qui se demandent: Quel est le choix de société qui a été fait pour en arriver là?

Ecouter le reportage ICI

 
 
Gaëlle Peters, responsable ressources au RWLP, signe un article sur les inégalités numérique:
"Dans un contexte où l’accès aux services en présence s’amenuise, le tout au numérique signifie une aggravation majeure du non-recours aux droits. Combien de personnes nous appellent via le 1718 Urgence Sociale pour nous témoigner de leur épuisement dans leurs démarches rendues impossibles quand il s’agit d’un formulaire de contact en ligne pour partager un long récit de vie semée d’embûches ! En plus de la connexion, de l’équipement et des compétences, il y a la forme du lien. Quand le contact humain est indispensable pour se faire aider ou simplement activer un droit, le numérique devient un mur insurmontable."
Lire l'article complet ici
 

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Guide d'apprentissage du numérique (ordinateurs, tablettes..)

Vidéos réalisée dans le cadre du projet « Fibre solidaire » initié par le Ministre-Président P.-Y. Jeholet, le RWLP a réalisé, en collaboration avec l’asbl RTA, des tutoriels qui visent à accompagner des jeunes et des familles dans l’apprentissage de l’ordinateur. Le RWLP les met ici à disposition en pensant à toutes celles et ceux qui doivent découvrir cet outil avec une certaine urgence.

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