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Point sur les mesures prisent par le gouvernement wallon en matière d'eau et d'énergie
2-> Retrait et interdiction du placement de limiteurs d’eau
Rencontre avec la Ministre Lalieux
Intervention statut cohabitant
Intervention d'une adolescente
Communiqué de presse BAPN + Réseaux de Lutte contre la pauvreté régionaux
L'élargissement du tarif social de l'énergie donne un répit à de nombreuses personnes et familles à faibles revenus
Le gouvernement fédéral débloque 176 millions d'euros pour permettre à un plus grand nombre de personnes à faibles revenus de bénéficier d'un tarif social pour le gaz et l'électricité. Au total, jusqu'à un million de ménages belges recevront une facture d'énergie moins élevée. Les organisations belges de lutte contre la pauvreté saluent cette initiative du gouvernement fédéral. Elle répond à une demande de longue date en faveur d'une extension du tarif social à toutes les personnes avec le statut BIM. Cette mesure peut donner un répit à de nombreuses personnes et familles confrontées à des difficultés financières.
Environ une famille sur cinq a des difficultés à payer sa facture d'énergie. En Flandre, environ 150 000 familles ont mis en place un plan de paiement de l'énergie. Près de 40 000 familles disposent d'un compteur à budget pour l'électricité, et près de 30 000 autres pour le gaz naturel. En Wallonie, il s'agit respectivement de 70 000 et 32 000 ménages. À Bruxelles, pas moins de 25 % des habitants souffrent d'une forme de pauvreté énergétique. Derrière ces chiffres, il y a une dure réalité : des gens qui s'endettent davantage, des familles qui ne peuvent pas se chauffer ou pas suffisamment, qui sont littéralement dans le noir et ne peuvent satisfaire leurs besoins fondamentaux.
Depuis longtemps, les réseaux de lutte contre la pauvreté réclament une extension du tarif social à toutes les personnes ayant le statut BIM. Cela permet non seulement d'élargir le groupe de bénéficiaires éligibles, mais aussi d'accorder automatiquement le taux social et d'éviter ainsi la sous-protection. En effet, les gens ne doivent pas trouver par eux-mêmes ce à quoi ils ont droit et ne doivent pas entreprendre des démarches administratives, souvent trop compliquées pour eux. Par conséquent, il y aura aussi de l'espace pour résoudre d'autres problèmes ou répondre à d'autres besoins.
"Il est positif que cette mesure soit maintenant introduite pour un an", déclare Caroline Van der Hoeven, coordinatrice du Réseau belge de lutte contre la pauvreté (BAPN), le réseau des réseaux de lutte contre la pauvreté en Flandre, à Bruxelles et en Wallonie. "L'extension au groupe cible avec le statut BIM peut être un instrument efficace dans la lutte contre la pauvreté énergétique. Cependant, nous savons aussi que les problèmes d'un grand nombre de personnes ne sont pas résolus en un an, et certainement pas pendant la crise COVID. Nous espérons que le gouvernement fédéral mettra en place des solutions structurelles pour combattre la pauvreté énergétique".
En outre, les réseaux demandent également que les problèmes ne s'aggravent pas. Trop souvent, les factures impayées entraînent des coûts plus élevés. Il faut aider plus rapidement les locataires dont la facture est très élevée en raison de la consommation d'énergie de leur logement. Il faut une politique transversale. Augmenter les revenus les plus faibles, renforcer l'accessibilité des services de médiation de dettes et fournir une facture compréhensible et des plans de remboursement réalisables. À cet égard, la réglementation des délais de paiement et des indemnités dues en cas de retard de paiement peut être beaucoup plus sociale.
Les réseaux belges ont déjà plaidé au sein de la Task Force fédérale "Groupes vulnérables" pour étendre la prime Covid de 50 euros/mois à tous les bénéficiaires des allocations, aussi de la sécurité sociale. La mesure s'applique jusqu'au 31 mars et ne concerne qu'un groupe limité, à savoir les personnes de plus de 65 ans bénéficiant d'une Garantie de revenus aux personnes âgées (GRAPA) et les personnes bénéficiant d'une allocation de remplacement de revenu (ARR) ou d'un revenu d'intégration sociale (RIS). Cette mesure ferait une grande différence pour les personnes dont le budget de ménage est sous pression en raison de l'augmentation des dépenses due à la crise Covid. En étendant cette prime Covid, le gouvernement fédéral peut éviter que des personnes isolées et des familles ne sombrent.
Contact :
Caroline Van der Hoeven, coordinatrice du Réseau belge de lutte contre la pauvreté (BAPN), caroline.vanderhoeven@bapn.be , 0474 55 96 11
Déjà paru:
RTBF ITW d Anne Leclercq à 5min20
JOURNÉE INTERNATIONAL DES PERSONNES HANDICAPEES
Nous ne sommes pas notre handicap. Nous sommes des citoyens à part entière.
Facture d'eau et confinement - décission du Gouvernement Wallon
Accès à l'eau - précarité hydrique
Le droit à l’eau est un enjeu prioritaire.
L’eau, ce bien essentiel, vital, ce patrimoine commun, n’est pourtant PAS accessible à tous. En être privé, ou y avoir accès de manière limitée atteint gravement la dignité humaine.
Ci-après, une chronique de Carta Academica parue le 28/11/2020, qui remet en avant les inégalités en matière d’eau et la diversité des réalités dans notre pays pourtant si bien doté d’infrastructures et de ressources… un regard sur la diversité des réalités.
Merci à Carta Academica d’avoir mis en avant cette réalité souvent vécue honteusement. -> ->
La chronique de Carta Academica: «La vulnérabilité hydrique ou la nécessité de repenser une continuité entre le logement et les espaces publics»
MEDIAS// Carte Blanche: Une loi Covid dangereuse pour la justice
Le recours généralisé à la procédure écrite et la vidéoconférence est contraire à une administration de la justice humaine, efficace et respectueuse des droits fondamentaux, estime la Plateforme 'Justice pour tous'.
Le ministre de la Justice Vincent Van Quickenborne prépare actuellement un projet de loi "Covid" dans lequel il envisage la suppression des audiences de plaidoiries et la généralisation de la procédure écrite dans certaines matières. Dans d'autres matières, et notamment en matière pénale, les audiences par vidéoconférence deviendraient la norme.
Nous nous inquiétons de la portée des mesures annoncées. D'abord parce que celles-ci s'inscrivent dans une tendance du pouvoir exécutif à s'immiscer dans l'organisation du pouvoir judiciaire en contradiction avec le principe de séparation des pouvoirs, fondement essentiel de notre Etat de droit[2]. Ensuite et surtout, parce qu'alors que la fin de cette pandémie parait incertaine et éloignée, il nous paraît essentiel d'organiser la Justice, en cette période exceptionnelle, d'une manière viable sur le long terme, sans transiger ni sur la qualité, ni sur l'accessibilité de ce service public essentiel.
Lire la carte Blanche
Conférence de presse - Les syndicats et l'associatif en front commun pour défendre Farouk Marouf
Le 19 novembre dernier, les syndicats (FGTB+CSC) et le monde associatif , emmenée par le Monde des Possibles et le Crilux ont été accueillis dans les locaux du RWLP pour la tenue d'une conférence de presse afin de mettre en évidence la demande de Monsieur Farouk Marouf et de son avocat Me Vincent Lurquin; permettre à Mr Marouf d'exercer son métier en Belgique.
Voir l'interview de Monsieur Marouf et de son avocat -> https://vimeo.com/482562958
Pour les syndicats, ils faut Mettre en adéquations les demandes des travailleurs et les besoins du terrrain. Les personnes sans titre de séjours qui le souhaitent et le peuvent doivent pouvoir venir en aide à la population que ce soit en ce moment de crise sanitaire, dans les soins infirmiers ou autres..
Voir l'interview de Jean-François Tamellini, Secrétaire Général de l'interrégionale Wallone de la FGTB et Anne Léonard, Secrétaire Nationale de la CSC -> https://vimeo.com/482580201
Pour l'associatif et singulièrement le Crilux et le RWLP, La Wallonie a mit en place beaucoup de choses, dont certaines sont contraignantes, pour amener les personnes sans titre de séjour à particpier à la vie de la société mais du coté du gouvernement on doit aussi tout faire pour que les personnes avec ou sans titre de séjour puissent avoir une place! Et attention à ne pas accepter de délivrer des titres de séjour UNIQUEMENT en fonction des métiers exercés par les demandeurs!
Voir l'interview de Nicolas Contor, Directeur du centre régional d'intégration Crilux et de Christine Mahy, Secrétaire générale du RWLP -> https://vimeo.com/482619207
Revue de presse: Le Soir / Le Guide Social
Le Mouvement personnes d'abord à besoin d'aide
"C’est un S.O.S. angoissé que lancent les responsables et les 92 bénéficiaires de l’association Mouvement personne d’abord née à Verviers, et qui a essaimé à Liège et Namur, pour soutenir les personnes déficientes intellectuelles ou en difficulté d’intégration socioculturelle. Si avant la fin de l’année, 15.000 € ne peuvent être trouvés et si dans la foulée, pour le premier semestre 2021, on ne peut rassembler 30.000 €, l’association risque de disparaître…"
Article de La Meuse
Le Mouvement personne d'abord est membre du RWLP depuis plusieurs années, leurs membres, leur travail enrichissent (comme d'autres) RWLP au quotidien!
"ULTIME APPEL A L'AIDE
Cette année, suite à la crise que nous traversons, nous ne savons plus rien organiser pour nous permettre de réunir les fonds nécessaires au fonctionnement de notre association. Les loyers, les frais de fonctionnement des trois antennes, le matériel pour permettre les ateliers sont à notre charge. Nous menions beaucoup d' actions pour arriver à nouer les deux bouts. C'est fini, nous ne pouvons plus.
C'est pourquoi nous faisons appel à vous pour que le Mouvement Personne D'Abord puisse SURVIVRE !!! Si nous ne réunissons pas la somme de 15.000 euros pour la fin de l'année 2020, l'association disparaitra. Ce sont 92 membres à Verviers, Liège et Namur qui perdront une vraie famille. Que ça soit un don, une aide, un partage ou même un like, aidez-nous à sauver le Mouvement Personne D'Abord! Voici le lien de la cagnotte TIPEE pour nous soutenir: https://fr.tipeee.com/le-mouvement-personne-dabord?fbclid=IwAR0fuoZDFUEJYmp6PV3_Un4vecVrzczkJ9I2OWOGvNyI68nFXFKTMQOfw84
D'avance merci à tous!"
Journée Internationale des droits de l’enfant - 20 décmbre
Ce 20 novembre est la journée internationale des droits de l’enfant. La pauvreté impacte tous les droits des enfants, ici en Belgique aussi, alors que notre pays est le 24ème pays le plus riche du monde. UNICEF a d’ailleurs lancé cette semaine une campagne de lutte contre la pauvreté infantile en Belgique.
Dans le cadre d’une collaboration entre UNICEF et le réseau belge de lutte contre la pauvreté (BAPN), la Reine Mathilde, présidente d’honneur d’UNICEF Belgique, va s’entretenir en ce 20 novembre de manière informelle avec des jeunes et des familles vivant la pauvreté.
Au vu de la crise sanitaire, cette rencontre aura lieu par visioconférence. La Reine Mathilde écoutera d’abord les témoignages des jeunes et des familles, avant d’échanger avec eux. Des représentants d’UNICEF, ainsi que de BAPN, du réseau wallon de lutte contre la pauvreté (RWLP), du réseau flamand (NTA) et bruxellois(BPA) assisteront aussi à l’échange.
Deux témoins du vécu militant.e.s du RWLP témoigneront dans ce cadre. Ils attireront l’attention de la Reine sur les multiples conséquences de la pauvreté sur leurs droits, leurs accès aux soins de santé, à l’école, à un logement décent, à la mobilité, au sport…et sur leur santé mentale, sur le stress, l’anxiété, la colère…qu’ils ressentent au quotidien.
Le dossier du Journal Le Soir