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Action politique
Jean Blairon, Président du Conseil d'administration du RWLP a le plaisir d'annoncer la nomination de Christine Mahy, la secrétaire générale et politique du RWLP comme régente de la Banque Nationale
Chers membres de l’association,
Cher.e.s militantes et militants,
Cher.e.s collaboratrices et collaborateurs,
J’ai le grand plaisir de vous annoncer que l’assemblée ordinaire de la Banque Nationale de Belgique vient d’élire la secrétaire générale et politique du RWLP comme régente de la Banque Nationale.
Le Conseil de régence de la BNB est composé de 20 personnes, dont 6 membres du comité de direction de la Banque.
Le Conseil de Régence a entre autres rôles celui de procéder " à des échanges de vues sur les questions générales relatives à la Banque, à la politique monétaire et à la situation économique du pays et de l’Union européenne, à la politique de contrôle à l’égard de chacun des secteurs soumis au contrôle de la Banque, à l'évolution dans le domaine du contrôle sur les plans belge, européen et international, ainsi que, en général, à toute évolution concernant le système financier soumis au contrôle de la Banque "
Même si cette charge nouvelle s’ajoute à toutes celles que Christine remplit déjà, il me paraît très essentiel que le point de vue social dont Christine est la porte-parole si écoutée soit encore renforcé dans des débats dont l’importance n’échappe à personne.
Christine siégera notamment aux côtés de Thierry Bodson (FGTB) et de Marc Leemans (CSC). Avec toute la force et l’intelligence que nous lui connaissons, elle pourra plaider pour une vision de l’économie déterminée par les enjeux sociaux (et non l’inverse comme à l’habitude), pour une société dont le modèle soit de reconnaître et faire droit aux richesses que représentent toutes les populations (et non de faire la richesse d’une minorité).
A travers cette nomination au Conseil d’une des institutions faîtières de notre pays, c’est aussi l’importance de plus en plus grande du travail mené par le RWLP qui est manifestée ; c’est notre travail à tous, en tant que collectif au service des populations qui est reconnu. C’est notre engagement, dont je vous remercie une fois de plus, qui progresse en influence.
Jean Blairon, Président
Dans la Presse: RTBF / La Libre / Le Soir /L'Echo




Si c’est le Ministre qui le dit !
Lire l'article RTBF
Lire le texte de la Région Wallonne
Les Témoins du vécu militant.e.s du RWLP et BAPN étaient avec la Coalition Corona devant le cabinet du Vice-Premier ministre et ministre des Finances Vincent Van Peteghem, en charge de la Coordination de la lutte contre la fraude, pour demander une réforme fiscale ambitieuse et concertée avec la société civile pour atteindre une fiscalité juste au service d’une transition écologique et solidaire.
Le vrai remède ? La solidarité.
Le gouvernement belge doit dégager des moyens supplémentaires pour reconstruire un monde post-Covid plus juste et durable. La prise en compte des enjeux sociaux et économiques doit faire partie intégrante de la politique climatique. La offre des solutions pour partager cet effort de manière équitable.
Or, Le constat aujourd’hui reste celui de l’injustice fiscale. Les négociations sur la réforme fiscale annoncée dans la déclaration gouvernementale n’avancent pas et les quelques consultations s’organisent en contournant les espaces collectifs de concertation. Pourtant la taxation des revenus du travail est nettement plus élevée que celle du capital, alors que le taux effectif de l’impôt sur les bénéfices des sociétés n’a cessé de diminuer, à cause de la compétition acharnée que se livrent les Etats sur le plan fiscal et des pratiques d’évitement fiscal des multinationales.
Le gouvernement belge doit cesser de nous faire mousser et agir en transparence ! Des centaines de citoyen·ne·s ont d’ailleurs signé une lettre demandant à M. Van Peteghem de proposer des mesures claires pour une fiscalité juste.
Revue de presse: Belga - LN24 - BX1 - RTL - L'Echo - De Wereld Morgen
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Depuis que la pandémie du coronavirus a commencé à avoir un impact en Europe, les dettes publiques dans la zone euro ont augmenté en moyenne de près de 20 %.
La raison en est simple : au lieu de taxer le 1 % le plus riche et les grandes entreprises, comme le CADTM et d’autres le demandaient (voir la pétition : undefined), les gouvernements ont préféré recourir à l’endettement. Cela a créé une nouvelle qui s’ajoute aux anciennes.
Depuis 40 ans de néolibéralisme, à chaque crise économique, nous voyons le fossé entre les riches et les travailleurs se creuser, et les dettes publiques s’alourdir, dans un processus d’accumulation du capital qui ne s’arrête jamais. Il est mensonger de dire que la pandémie du coronavirus menace de manière égale les différentes classes sociales. Les grandes entreprises comme celles des GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) ont tiré d’énormes profits grâce au confinement, les entreprises du Big Pharma comme Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Curevax, Merck, ont réalisé des gains faramineux grâce à la pandémie en vendant des vaccins et des traitements à des prix exorbitants (voir Coronavirus : Biens communs mondiaux contre Big Pharma ), les grandes banques et les fonds d’investissements ont également fait de grands bénéfices grâce aux aides des États tout comme les grandes entreprises spécialisées dans les combustibles fossiles comme le pétrole et le gaz.
Le refus d’imposer une taxe Covid aux multimillionnaires et aux grandes entreprises a non seulement accru les inégalités mais a également entraîné une forte augmentation de la , dont l’Europe est un bon exemple. La dette publique totale de la zone euro atteint 12 000 milliards d’euros. Entre début 2020 et juillet 2021, la dette est passée de 86 % du de la zone euro à 100 %. C’est une moyenne. Une série de pays ont un ratio beaucoup plus élevé. La dette publique de la Belgique et de la France atteint presque 120 % du PIB ; celle de l’Espagne atteint 125 % ; celle du Portugal, 140 % ; celle de l’Italie atteint 160 %. Quant à la dette publique de la Grèce elle atteint 210 % alors qu’au pire de la crise de la dette grecque elle atteignait 180 % et que la affirmait qu’elle allait baisser.
La détient une partie importante de la dette publique de la zone euro. Au moment où ces lignes sont écrites, la BCE possède pour plus de 3 900 milliards € de titres souverains de la zone euro, soit plus de 30 % de la dette totale qui atteint, comme nous l’avons, dit 12 000 milliards €. Le détail des chiffres par pays est accessible sur le site de la BCE. La BCE achète les titres souverains des pays de la zone euro au travers de deux programmes :
1. le Pandemic emergency purchase programme (PEPP) qu’on peut traduire par le programme « Pandémie » d’achats d’urgence
et 2. le public sector purchase programme (PSPP) qu’on peut traduire par le programme d’achat du secteur public.


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- Le point de vue du RWLP
- Dans la presse La Capital / La DH
- Lire la carte blanche de "Travail social en lutte" - «Les travailleurs sociaux ne seront pas les sous-traitants des autres services»
Le RWLP a participé à la marche pour la justice vaccinale, le collectif #Lights4Lives demande que l'UE et la Belgique cessent de protéger les monopoles des entreprises pharmaceutiques.
Il faut partager les technologies avec TOUT le monde pour mettre fin à la pandémie et à l'émergence de nouveaux variants du virus.
Agissez: Invitez votre entourage à signer la proposition législative officielle adressée à la Commission européenne
Dans la presse : RTL - BX1 - PICKX - BRUZZ