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EUROPE FSE

Action politique

Assemblée générale d’EAPN 2012 – déclaration finale

L’AUSTERITE NE FONCTIONNE PAS – UN PACTE D’INVESTISSEMENT SOCIAL S’IMPOSE

Les délégués de la 23ème Assemblée générale d’EAPN (7-9 juin, Norvège) se joignent aux personnes en situation de pauvreté pour adresser un « carton rouge » aux institutions européennes et ainsi leur signifier qu’elles ont abandonné les gens, dont les plus vulnérables, dans la course à l’apaisement des marchés. Les Etats membres, agissant ensemble au sein du Conseil européen, poursuivent une approche rivée exclusivement sur l’austérité, faisant payer aux « pauvres » le prix d’une crise dont ils ne sont pas responsables et empêchant une relance inclusive. Les délégués de l’Assemblée générale appellent les dirigeants européens à donner priorité à l’humain et à la planète plutôt qu’aux marchés et à s’accorder sur un Pacte d’investissement social pour restaurer la confiance des gens, offrir une vision positive et présenter une feuille de route pour la coopération européenne à venir.7

De l'État social au sparadrap social (1)

jeudi 16 février 2012, 16:38 ·

 Donc, notre radio-télévision publique francophone a mené une très médiatique opération «Hiver 2012» la semaine dernière. Riche idée. RTL doit se mordre les doigts de ne pas y avoir pensé. Le mercredi, une journaliste s'émouvait de la situation de Francesco, se réchauffant au feu de bois dans son salon qui atteignait à peine les 6°C. Francesco est malade et ne peut plus travailler. Son allocation d'invalidité ne lui permet pas de remplir sa citerne à mazout. Et la journaliste de lui tendre un micro compatissant:

«Comment fait-on pour vivre avec 1.200€ par mois?» Cette question, on aurait pu la poser aux nombreux travailleurs à temps plein dont le salaire ne dépasse pas cette somme. Mais ce n'était pas le sujet...

Ce qui étonne, c'est la surprise des organisateurs devant «la magnifique solidarité des Belges». Pourtant, les multiples opérations 11.11.11, Iles de Paix et autre Télévie montrent bien que Monsieur et Madame Tout le Monde sont solidaires et ont le cœur sur la main.

 Quelques-uns, qui savaient de quoi il s'agissait, ont osé, avec beaucoup de précaution et de délicatesse, essayer d'expliquer que tout n'était pas aussi simple; que proposer gratuitement un logement meublé et chauffé à quelqu'un qui n'a connu que la rue depuis des années pouvait être problématique. Et que par contre, le proposer en location au CPAS qui pouvait le transformer en habitation sociale et servir d'intermédiaire avec le propriétaire, c'était une solution plus durable... Une de ces personnes a souligné le fait que la vraie solution devait être structurelle et non laissée à la bonne volonté des citoyens.

Merci à ces acteurs sociaux d'avoir eu l'intelligence et un certain courage, d'oser inscrire quelques bémols à la déferlante solidaire. Ils ne l'ont pas fait pour dévaloriser les bons sentiments – nul doute qu'ils ont sauvé des vies en cette période de grand froid – mais pour souligner la nécessité d'apporter au problème des solutions structurelles mises en œuvre par les pouvoirs publics.

 On ne peut s'empêcher de faire le lien avec l'article du Soir du 8 février sur les «tabous» de la société belge. 3ème tabou: «Les syndicats freinent le progrès», titre mis entre guillemets pour préserver le quotidien de toute critique.

 L'article citait: «Ouvrons les yeux, nous vivons dans un état de prospérité croissante. Mais cela a un prix. On n'a jamais pensé aux reculs, pourtant il faut s'y faire.» Signé: Vincent Reuter, patron de l'Union wallonne des Entreprises.

 Donc, «Nous vivons dans un état de prospérité croissante».

 Allez dire ça aux deux dames interrogées sur la deuxième chaîne de télévision française qui dorment dans leur voiture, qu'elles ont réussi à conserver: l'une depuis deux ans; l'autre depuis quelques mois. Depuis qu'elle a perdu son logement, depuis qu'on lui a retiré la garde de ses enfants. Celle-ci pleurait car malgré la couette qu'elle avait pu aussi conserver, elle ne parvenait pas à se réchauffer et scandait telle une mélopée: «J'ai froid... et j'ai froid». Et le «et» de sa phrase prenait soudain une intensité inhumaine... Celle-là, plus aguerrie, disait qu'elle avait passé un an à se rendre invisible, car elle avait honte...

 Allez dire ça au petit vieux qui vit dans une pièce de quelques mètres carrés et à qui EDF a coupé l'électricité. Il fait 2°C dans sa chambre. Il veut bien rembourser 100€ par mois mais essuie un refus clair et net : sans le remboursement de la somme globale de 500€, pas de courant. EDF: Electricité de France...

Revenons à nos deux dames scotchées à leur voiture: fini de se rendre invisibles car elles n'ont plus rien à perdre. Elles acceptent d'être filmées pour le JT. Le lendemain: avalanche d'offres de toute nature: une gentille dame leur offre la jouissance d'un coquet appartement en plein Paris et montre: il y a tout le confort et c'est chauffé. Elles pourront en disposer... quelques jours, précise la dame. Celle qui dit avoir eu honte a compris qu'elle doit accepter la solidarité pour survivre et en est reconnaissante, mais elle sait aussi que pour chasser définitivement la honte, la solution est obligatoirement autre.

 Et quel est le seul acteur capable d'apporter cette solution structurelle? L'Etat. Lui seul peut sortir les citoyens démunis de la charité et d'un sentiment de honte, en reconnaissant leurs droits de citoyens: droit non seulement au vivre et au couvert décents, mais également au travail qui les procure, sans parler du droit aux loisirs, à la culture...

 Cette «opération Hiver 2012» est, malgré elle, une parfaite parabole de l'importance de l'Etat dans l'organisation de la vie en société. On offre des couvertures et de l'argent quand il faudrait surtout des logements. On est prêt à faire la charité, mais on râle de devoir payer des impôts et des cotisations sociales... qui sont pourtant la clé du bien-être pour tous: la protection sociale, les services publics, la santé, des pensions dignes...

Le vrai drame est d'avoir mené pendant des années des attaques en règle contre les pouvoirs publics. Aujourd'hui, ces pouvoirs et services publics dont on a raboté et les moyens et la légitimité, ne sont plus en capacité d'atteindre leurs objectifs.

 Qu'on ne se méprenne pas. Le but de notre démarche n'est évidemment pas de dénigrer les actes de solidarité nécessaires pour parer à l'urgence mais bien de remplacer la couverture de laine par une véritable couverture sociale (²). A la veille d'un contrôle budgétaire qui, si l'on ne réagit pas, ne fera qu'aggraver le sort des plus pauvres, aura-t-on droit à une tout aussi médiatique campagne de sensibilisation qui mette le doigt sur les véritables raisons de la précarité croissante de la population?

 Matéo Alaluf, sociologue

Thierry Bodson, Secrétaire général de la FGTB wallonne

Marc Jacquemain, sociologue

Hugues Le Paige, journaliste-réalisateur, directeur de la revue Politique

Christine Mahy, Sécrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté (RWLP)

Francis Wégimont, Secrétaire général de l'IRW CGSP

(1) Le titre est une expression utilisée par une travailleuse sociale lors d'une interview.

(2) Irène Kaufer, Une couverture en laine c'est bien, une couverture sociale c'est mieux, http://blogs.politique.eu.org/Une-couverture-en-laine-c-est-bien

 

Des femmes, des hommes, des enfants, des familles s’usent d’user leur vie juste pour survivre ! Une société qui organise cela est une société assassine.

Un jeune SDF de 30 ans meurt parce qu’il est arrivé trop tard à l’abri de nuit, parce qu’il a trop consommé, parce qu’il était seul, … parce que, parce que, parce que…

La ville de Liège sanctionne les mendiants, parce qu’il y en a trop, parce qu’ils sont trop insistants, parce qu’ils ont consommé, parce que ça fait désordre, … parce que, parce que, parce…

La ville d’Anvers verbalise les personnes qui prennent des choses dans les poubelles, parce que ça ne se fait pas, … parce que, parce que, parce que, parce que…

Des demandeurs d’asile sont bafoués dans leur droit et certains meurent, de retour au pays…

Des enfants chez nous vivent dans la rue et dans les gares hier, aujourd’hui, maintenant…

Je ne sais pas vous, mais moi aussi ça me dérange de croiser de plus en plus de personnes SDF, de plus en plus de personnes qui mendient dans la rue ! Des hommes, des femmes, des familles, des enfants, des belges, des jeunes, des vieux, des malades, des costauds, avec un chien, seul, de nationalités diverses, en petit groupe, bourrés ou pas, enlaidis ou pas, de couleurs différentes, propres ou puants…Et pire, parfois on tombe sur quelqu’un qu’on connait, qu’on a connu… et c’est le choc de plus ! Miroir de cette société qui produit cet état de fait… et si j’étais plus fragile un jour aussi, et si ça me pendait au nez ! J’ai mal à eux, j’ai mal à moi. J’ai peur pour eux, j’ai peur pour moi.

Certains tentent de s’enfoncer dans le macadam ou les pavés pour qu’on les voit le moins possible, pour ne pas se voir eux-mêmes, d’autres occupent le centre d’un trottoir pour qu’on se trébuche dedans, quelques-uns ont quelque chose à nous donner en échange… un peu de musique, ils sont debout et en mouvement, assis, écroulés, fatigués, habitués, usés, tordus…

Des femmes, des hommes, des enfants, des familles s’usent d’user leur vie juste pour survivre !

 

Combien de rendez-vous ratés pour en arriver là ? Combien de rendez-vous mal organisés pour en arriver là ?

Je ne m’habitue pas.

Alors les questions qui traversent la tête, les questions qui occupent l’esprit et qui paralysent pour un instant, le temps de passer : je donne, je ne donne pas, ce n’est pas la solution de mendier, je ne vais tout de même pas jouer là-dedans car je suis pour des solutions structurelles, pourquoi à celle-là plutôt qu’à celui-là, ça ne va pas l’aider vraiment, et si je parlais avec lui plutôt, oui mais est-ce un vrai SDF ou est-ce que je me fais rouler, il va aller les boire et si je donnais les biscuits que j’ai dans mon sac… et puis zut, il faut que je m’habitue à passer sans les voir, ou en faisant juste un sourire, ou en ayant le regard vide pour ne pas me laisser accrocher par le leur…

Et puis je donne à celle-ci, à celui-là… parce que le regard est plus attendrissant, parce que je suis faible et moins politique dans ma tête aujourd’hui, parce que je sens de la monnaie dans ma poche et que le geste est presque machinal, parce que j’ai besoin de compenser mon mal à ma société, parce qu’aujourd’hui je suis triste ou heureuse, parce que, parce que, parce…

Et la masse autour par laquelle on se sent regardé… quand on donne, pas quand on passe !

Et ces invisibles trop visibles, ces visibles trop invisibles… ne sont que la pointe d’iceberg d’un appauvrissement poussé dans ses retranchements, un appauvrissement qui existe derrière bien des façades, dans des buildings, des caravanes, squats, maisons de repos, et autres lieux de vie.

Parce que la privation matérielle et immatérielle gagne, parce que l’accès aux droits de base que sont simplement manger, se loger, se mobiliser, se soigner, se cultiver ne sont plus garantis à tous, sont de moins en moins garantis à tous…

La pauvreté, l’appauvrissement ne sont pas le fruit du hasard. Le pillage des ressources matérielles, immatérielles et naturelles de tous/pour tous/par tous au profit de l’enrichissement de certains est le scandale de notre époque. Nous ne pouvons le supporter et le faire supporter par certainsLe monde des politiques et décideurs fait son métier, du mieux au plus mal, du moins mauvais au plus mauvais ! Mais il ne faut pas le laisser seul à la barre, nous devons nous en mêler.

Nous, ceux qui faisons encore partie des plus forts des plus faibles, nous nous devons de réagir, d’agir, de nous positionner, de sortir de l’atomisation, de la neutralisation, du rien n’est possible.

Le capitalisme broyeur est arrivé à faire accepter, à ce que soit intégré comme un fait inéluctable, que des humains soient réduits à une mécanique productrice uniquement, sans autre aspiration ! Cela, au profit de ceux dont « l’enrichissement assisté » constitue l’intelligence assassine ultime.

Ce baxter d’assistance qui alimente les enrichis est rempli de l’usure des femmes et des hommes appauvris !              

Ce qui pourrait tout de même peut-être devenir ennuyeux, embêtant, pour ces « enrichis assistés », c’est de devoir vivre de plus en plus exclusivement entre eux, progressivement parqués dans des réserves en or pour enrichis ! Dixit un enrichi !!!!

Dans une société organisée comme la nôtre, comme celles des pays développés en Europe, le cynisme va jusqu’au détournement de l’action sociale, socio-culturelle et culturelle en faveur de la paix sociale par l’encadrement du peuple d’en bas. Progressivement, ce vaste secteur que j’affectionne pourtant particulièrement, a été reconfiguré pour devenir un maillon de la chaîne à remplir ces « baxters » avec l’usure du peuple. De plus en plus de professionnels accompagnent, aident, soignent, animent, secouent, sanctionnent, conseillent, orientent, éjectent, mobilisent, activent la masse croissante en état de privations accrues ; certains professionnels eux-mêmes atteints par la précarisation tout en remplissant de telles fonctions.

Il n’y va pas de la responsabilité individuelle des travailleurs, mais bien d’un système mis en œuvre.

Et pourtant, ne pas se dire que rien n’est possible, ne pas se sentir muselé, décider de se donner du temps pour faire de la Politique.

Et pourtant s’en mêler, se mêler de l’organisation de la société, se mêler de la vie des autres, se mêler de sa propre vie.

J’invite les membres des associations, les travailleurs, les personnes, à rejoindre un mouvement, une structure engagée de leur choix pour y aller réfléchir, mettre des idées ensemble, poser des actes, renouer avec la notion de collectif et du bien commun, prendre la parole, inventer des solutions, expérimenter et innover.

Faire démocratie, c’est d’abord (re)politiser.

(Re)politiser : s’intéresser à la vie de la cité, avoir des opinions, sortir de l’atomisation et de la neutralisation, se mêler de la vie collective, de l’organisation collective, comprendre l’histoire sociale, se cultiver, affronter les contradictions, dégager des enjeux et les causes communes.

J’invite à sortir d’urgence d’un activisme plus réparateur qu’émancipateur, pour consacrer dans les associations un maximum de temps en équipe et avec les usagers des associations pour se (re)politiser et agir démocratie. Une action de moins, mais un temps en plus pour : lire la presse ensemble, l’analyser et la critiquer, aborder les questions politiques, réfléchir aux élections à venir, co-construire des réflexions, se forger une opinion et la défendre, pour se préparer à participer à des mouvements plus large, pour combattre la remontée de tous les autoritarismes.

 

Malgré l’usure du peuple d’en bas, l’impertinence de survie qu’il déploie doit conduire à la pertinence politique de nos actes.

Mobilisons et utilisons d’urgence nos intelligences professionnelles avec la même intensité avec laquelle les appauvris solutionnent les questions urgentes quotidiennes grâce à leur intelligence de survie.

Quand le travail des institutions et des associations encadre les appauvris à travers un hyper-contrôle sanctionnant, « l’assistance » initialement conçue comme l’apport de la solidarité collective pour les moments difficiles dans une vie, devient la « prise en charge » de quelqu’un  « supposé passif, non responsable et a priori suspect ».

Solidarisons d’urgence les intelligences !

 

 

Samedi 12 mai 2012.

Christine Mahy

Secrétaire générale du RWLP.

Dans le cadre de la 4ème réunion de dialogue avec les acteurs de terrain sur la Plateforme européenne contre la pauvreté et l’exclusion sociale, le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté a pu s'associer à Dynamo International et au réseau belge de lutte contre la pauvreté (BAPN) pour rédiger une réaction aux questions envoyées par la commission sur les services sociaux.


Vous trouverez ici la version en anglais suivie de la version française

 

Privation, pression sociale, sentiment de gêne ou de honte : la réalité et le vécu des (parents) pauvres sont très lourds.  Ils se débrouillent, s'accrochent, utilisent toutes les ficelles du "système", pour tenter au mieux d'être responsables de leurs enfants.

Texte de Christine MAHY dans la revue "POLITIQUE"

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Confrontés à des conditions de vie difficules, dans une société qui leur confisque souvent la parole, certains jeunes choisissent une voie artistique, comme le théâtre, pour s'exprimer et s'épanouir socialement.

Texte de Pierre DOYEN dans la revue "POLITIQUE"

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Texte publié dans la Revue "POLITIQUE" sous la plume de Christine MAHY.

Les pauvres et nos systèmes : Chronique de rendez-vous manqués.

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Le 12 mars 2012 s'est tenue une conférence sur le thème "Richesses Financières ou Richesses des Populations".  Le Théâtre de Namur, prestigieux site, s'est mis au service des populations en accueillant 400 personnes issues de tous les horizons : syndicats, mutuelles, politiques, administrations, associations, personnes privées ont répondu massivement à l'invitation du RWLP. 

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Vidéos réalisée dans le cadre du projet « Fibre solidaire » initié par le Ministre-Président P.-Y. Jeholet, le RWLP a réalisé, en collaboration avec l’asbl RTA, des tutoriels qui visent à accompagner des jeunes et des familles dans l’apprentissage de l’ordinateur. Le RWLP les met ici à disposition en pensant à toutes celles et ceux qui doivent découvrir cet outil avec une certaine urgence.

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