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Réactions à...

"C’est un S.O.S. angoissé que lancent les responsables et les 92 bénéficiaires de l’association Mouvement personne d’abord née à Verviers, et qui a essaimé à Liège et Namur, pour soutenir les personnes déficientes intellectuelles ou en difficulté d’intégration socioculturelle. Si avant la fin de l’année, 15.000 € ne peuvent être trouvés et si dans la foulée, pour le premier semestre 2021, on ne peut rassembler 30.000 €, l’association risque de disparaître…"
Article de La Meuse
Le Mouvement personne d'abord est membre du RWLP depuis plusieurs années, leurs membres, leur travail enrichissent (comme d'autres) RWLP au quotidien!
"ULTIME APPEL A L'AIDE
Cette année, suite à la crise que nous traversons, nous ne savons plus rien organiser pour nous permettre de réunir les fonds nécessaires au fonctionnement de notre association. Les loyers, les frais de fonctionnement des trois antennes, le matériel pour permettre les ateliers sont à notre charge. Nous menions beaucoup d' actions pour arriver à nouer les deux bouts. C'est fini, nous ne pouvons plus.
C'est pourquoi nous faisons appel à vous pour que le Mouvement Personne D'Abord puisse SURVIVRE !!! Si nous ne réunissons pas la somme de 15.000 euros pour la fin de l'année 2020, l'association disparaitra. Ce sont 92 membres à Verviers, Liège et Namur qui perdront une vraie famille. Que ça soit un don, une aide, un partage ou même un like, aidez-nous à sauver le Mouvement Personne D'Abord! Voici le lien de la cagnotte TIPEE pour nous soutenir: https://fr.tipeee.com/le-mouvement-personne-dabord?fbclid=IwAR0fuoZDFUEJYmp6PV3_Un4vecVrzczkJ9I2OWOGvNyI68nFXFKTMQOfw84
D'avance merci à tous!"
(Le RWLP soutient et partage le communiqué de presse de La LUSS)
Au vu de l’actualité et des diverses interpellations concernant le tri des patients, la Ligue des Usagers des Services de Santé (LUSS) se positionne en refusant le tri ainsi que la sélection des patients à quelque niveau que ce soit.
La LUSS et les associations de patients se battent depuis plus de 20 ans pour un meilleur accès aux soins pour tous, elles militent pour que chaque citoyen, quel que soit son origine, son âge, son sexe ou son état de santé soit soigné d’une manière digne. Tout citoyen doit avoir accès aux soins de santé en Belgique qu’il soit patient chronique, patient atteint de maladie rare, en situation de handicap ou atteint par la COVID-19.
La LUSS demande aux Ministres F. Vandenbroucke, C. Morreale et A. Maron :
Qu’ils expriment clairement un refus catégorique du scénario de tri et de sélection des patients.
La LUSS réaffirme que les droits humains fondamentaux et la loi relative aux droits du patient de 2002 sont pleinement d’actualité aujourd’hui et offrent un cadre clair et efficace qui favorise le respect des volontés exprimées par les personnes, le dialogue, la coopération entre patients et soignants. La LUSS s’oppose catégoriquement à ce que la loi relative aux droits du patient soit niée, minimisée ou enfreinte de manière directe ou indirecte. Nous resterons vigilants.
Lire le communiqué complet
Ce 7 novembre, le Gouvernement wallon a décrété un . Ceci signifie que du 7/11 au 13/12/2020, en aucune façon on ne pourra expulser un ménage de son logement à une exception : pour violence intrafamiliale. Ce délais pourrait être prolongé. Cette information est importante en cette période de 2eme vague Covid19 car elle garantit aux ménages de ne pas se retrouver à la rue ou se faire héberger chez des proches dans des conditions sanitaires peu idéales.
Il ne faut pas confondre avec la trêve hivernale pour les expulsions, il faut savoir qu’il n’y a qu’une seule circonstance pour la trêve hivernale en Région wallonne, c’est quand un ménage accepte une guidance financière en lien avec les arriérés de loyers pour du logement social (Slsp).
En France, il y a une trêve hivernale pour tous les locataires.
La ministre Karine Lalieux confirme les demandes de nombreux acteurs* dont les réseaux de lutte contre la pauvreté et les dernières décisions du dernier gouvernement : les contrôles resteront suspendus jusqu’en fin 2020 au moins du fait de la crise sanitaire.
Un pas important. Pour les associations*, il faut déjà envisager plus loin : le COVID rythmera notre vie encore en 2021, il y aurait du sens à envisager de prolonger la suspension des contrôles en 2021 également. Et en même temps, à agir pour réformer la GRAPA, vers des évolutions qui renforcent la liberté de circuler et le droit à l’aisance des personnes âgées vivant la pauvreté.
* BAPN, Ligue des droits humains, Liga van Mensenrechten, Gang des vieux en colère/Gang van de Razende Ouderen, CSC Seniors, Absym, UGIB, Collège Inter-mutualiste national, Fédération des maisons médicales et VWCG avaient demandé fin aout au précédent ministre Bacquelaine de prolonger ces suspensions ; il y avait répondu favorablement. La ministre actuelle des Pensions a confirmé cette décision.

2: passez à la borne (sans recharger)
3: repassez encore une fois sa carte dans le Compteur à budget : laissez la suffisamment longtemps pour que les échanges de données aient le temps de se faire. Quand tout s'est bien passé, le code 9 s'affiche.
S'il y a eu un problème, c'est le code 8 : dans ce cas-là, remettez la carte dans le compteur et laissez-la plus longtemps jusqu'au bip et affichage du code 9.
En cas de problème, contactez votre gestionnaire de réseau de distribution.
Si vous voulez plus d’informations, vous pouvez aller voir sur le site de Energie Info Wallonie (EIW)
Faites tourner l’information !
!!!! 3 mesures importantes si vous ne vous en sortez pas financièrement à cause de la crise sanitaire !!!!
ATTENTION LES DÉLAIS SONT TRÈS COURTS !!!!
- ENERGIE
- LOGEMENT
- CPAS
Voir les explications complètes
"A la demande du BAPN et des réseaux de lutte contre la pauvreté, le taskforce interfédéral "Groupes vulnérables" a été mis en place le 8 avril sous la direction du Ministre en charge de la lutte contre la pauvreté et du Ministre de l'intégration sociale. L'objectif de ce taskforce est de trouver des solutions pour les personnes en situation de pauvreté et les groupes vulnérables aux problèmes auxquels ces groupes sont confrontés durant la crise sanitaire Covid19."
La taskforce interfédéral a pour objetcif de:
- Evaluer l'impact de la crise Covid19 sur les personnes vulnérables, les mesures relatives au corona et les mesures socio-économiques des différents niveaux politiques ;
- Identifier les personnes qui ne relèvent pas du champ d'application des mesures socio-économiques et rendre leurs problèmes visibles ;
- Proposer des mesures socio-économiques supplémentaires ;
- Encourager la coordination avec les états fédérés pour assurer une meilleure articulation des mesures.
Avec l'aide des réseaux de lutte contre la pauvreté, BAPN a réalisé une 30ène de fiches sur les sujets abordés lors des réunions du groupe consultatif et ainsi pu faire passer rapidement les informations du terrain au niveau politique.
Aujourd'hui le souhait du RWLP est que certaines des mesures prises "temporairement" pour lutter contre la crise sociale liée à la crise sanitaire puissent devenir pérennes et faire du bien aux populations vulnérables sur le long terme.
Note envoyée par le RWLP au GEES (groupe d’experts en charge de l’Exit Strategy) pour une prise en compte des populations vulnérables sous l’angle de la santé mentale des individus et de la société suite à la crise sanitaire Covid-19.
Les mesures sanitaires indispensables qui passent principalement par le confinement/déconfinement progressif s’appliquent sur une crise sociale préexistante qui génère un état d’appauvrissement et de risque de désaffiliation sociale accrus de personnes et de familles déjà très fragiles auparavant. Les mesures sanitaires s’imposent sur ce terrain déjà très complexe et, sans le souhaiter, amplifient ces réalités et risquent donc d’intensifier encore les inégalités d’accès à des droits et services, à des revenus et y compris dans le cadre des revenus de remplacement et d’autres mesures ayant pourtant une intention bienveillante. Or on le sait les pertes de droits, affaiblissements des droits vitaux et de base, le non-recours aux droits, sont de nature à affaiblir fortement les forces vitales des personnes et des familles.
Le contexte anxiogène de la crise, l’inconnu auquel la population doit accepter de faire face dans sa vie quotidienne, la maladie qui frappe certain.e.s, le risque et la réalité des décès, les séquelles de la maladie, le timing inconnu, la peur des conséquences immédiates et à moyen-terme dans la vie matérielle et familiale quotidienne, sont autant de difficultés qui frappent toute la population, mais qui fragilisent davantage encore les populations les plus vulnérables.
Les impacts sur le bien-être/mal-être, sur un état de « dépression sourde, larvée » déjà très présente dans notre société, sur la mise à l’épreuve forte de la résistance nerveuse, sur les manières de compenser/décompenser, sur la santé mentale au sens large sont évidents. Si ces impacts peuvent toucher toutes les classes sociales, les populations les plus fragiles en font et en feront d’autant plus les frais.
Le RWLP, mais également les autres réseaux régionaux de lutte contre la pauvreté du pays avec qui nous travaillons au sein de BAPN, et des associations de base, ont l’occasion de constater cela sur le terrain tous les jours depuis le début de la crise par des contacts quotidiens avec ces populations vulnérables. Le numéro « vert » d’urgence sociale de la RW (le 1718), avec lequel le RWLP collabore depuis le début, le révèle également quotidiennement depuis le début de cette crise. Nous pouvons supposer qu’il en est de même avec le numéro vert sur Bruxelles.
Ces populations vulnérables ne peuvent être laissées à elles-mêmes face à ces impacts qui atteignent le bien-être, la santé mentale, le goût de vivre. La puissance publique, à travers les acteurs qui la composent, a la responsabilité de prendre cela en compte et d’agir à ce niveau, tant en termes curatifs que préventifs, et à travers la vie communautaire et sociale.
Note complète ICI