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Médias
"𝙐𝙣 𝙚𝙪𝙧𝙤 𝙞𝙣𝙫𝙚𝙨𝙩𝙞 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚 𝙡𝙤𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩, 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙚𝙪𝙧𝙤𝙨 𝙜𝙖𝙜𝙣𝙚́𝙨 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́!"
Un wallon sur quatre ne peut plus se payer les soins de santé. 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗯𝗲𝗮𝘂𝗰𝗼𝘂𝗽 𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱'𝗵𝘂𝗶, 𝗰𝗵𝗼𝗶𝘀𝗶𝗿 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝘀𝗲 𝘀𝗼𝗶𝗴𝗻𝗲𝗿 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́. Christine Mahy était l'invitée de Matin Première sur La Première - RTBF pour aborder la question de l'accès à la santé. Et malheureusement, 𝗰𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝗰𝗮𝗿𝗶𝘀𝗲́𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗹 𝗮̀ 𝗮𝗰𝗰𝗲́𝗱𝗲𝗿 𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗶𝗻𝘀 : "𝘚𝘪 𝘭𝘢 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴'𝘦𝘴𝘵 𝘢𝘮𝘦́𝘭𝘪𝘰𝘳𝘦́𝘦 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘦́𝘯𝘦́𝘳𝘢𝘭𝘪𝘴𝘵𝘦𝘴, 𝘥𝘦̀𝘴 𝘲𝘶'𝘪𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘴𝘱𝘦́𝘤𝘪𝘢𝘭𝘪𝘴𝘵𝘦𝘴, 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘱𝘦𝘶 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘪𝘦𝘳𝘴-𝘱𝘢𝘺𝘢𝘯𝘵, 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘮𝘦́𝘥𝘪𝘤𝘢𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘰𝘶 𝘥𝘦 𝘥𝘦𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘩𝘦̀𝘴𝘦𝘴, 𝘭𝘶𝘯𝘦𝘵𝘵𝘦𝘴, 𝘢𝘱𝘱𝘢𝘳𝘦𝘪𝘭𝘴 𝘢𝘶𝘥𝘪𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘰𝘶 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦𝘴, 𝘤𝘦𝘭𝘢 𝘱𝘰𝘴𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘣𝘭𝘦̀𝘮𝘦. 𝙋𝙧𝙚́𝙛𝙞𝙣𝙖𝙣𝙘𝙚𝙧 𝙨𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙞𝙣𝙨, 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙗𝙚𝙖𝙪𝙘𝙤𝙪𝙥, 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙧𝙚́𝙙𝙝𝙞𝙗𝙞𝙩𝙤𝙞𝙧𝙚 ! 𝙀𝙩 𝙤𝙣 𝙚𝙣 𝙫𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙚𝙣 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙨𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙙𝙚𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙘𝙝𝙤𝙞𝙨𝙞𝙧 𝙚𝙣𝙩𝙧𝙚 𝙨𝙤𝙞𝙜𝙣𝙚𝙧 𝙨𝙚𝙨 𝙚𝙣𝙛𝙖𝙣𝙩𝙨 𝙚𝙩 𝙨𝙤𝙞-𝙢𝙚̂𝙢𝙚, 𝙧𝙚𝙢𝙥𝙡𝙞𝙧 𝙡𝙚 𝙛𝙧𝙞𝙜𝙤 𝙤𝙪 𝙖𝙘𝙝𝙚𝙩𝙚𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙡𝙪𝙣𝙚𝙩𝙩𝙚𝙨..."
𝗡𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘃𝗲𝗻𝘂𝘀 𝘀𝘂𝗳𝗳𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁𝘀, qu'ils soient ou non issus du travail, cela produit des malades. 𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲𝘀 𝗽𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, parce que l'on reporte ses soins ou parce que, par manque de moyen, on ne se nourrit pas correctement ou l'on ne vit pas dans un environnement sain. 𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀, aussi, parce que vivre dans le stress permanent de savoir si l'on pourra, le lendemain, répondre aux besoins de sa famille ou payer son loyer ou son énergie, cela a des conséquences. 𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 enfin, parce que vivre dans de mauvaises conditions, être constamment montré du doigt, en tant que chômeur ou malade, notamment, cela provoque de la honte, cela isole : "𝙀𝙩 𝙖𝙪 𝙛𝙞𝙣𝙖𝙡, 𝙘𝙚𝙡𝙖 𝙖 𝙪𝙣 𝙘𝙤𝙪̂𝙩 𝙜𝙞𝙜𝙖𝙣𝙩𝙚𝙨𝙦𝙪𝙚 𝙨𝙪𝙧 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́. 𝘚𝘪 𝘭'𝘰𝘯 𝘷𝘦𝘶𝘵 𝘥𝘦́𝘴𝘦𝘯𝘨𝘰𝘳𝘨𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘩𝘰̂𝘱𝘪𝘵𝘢𝘶𝘹, 𝘨𝘢𝘨𝘯𝘦𝘳 𝘴𝘶𝘳 𝘭'𝘦𝘯𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘴𝘦́𝘤𝘶𝘳𝘪𝘵𝘦́ 𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘭𝘦, 𝘪𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘳𝘦́𝘷𝘦𝘯𝘵𝘪𝘰𝘯. 𝘼𝙜𝙞𝙧 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙖𝙫𝙖𝙣𝙩 𝙦𝙪𝙚 𝙡𝙚𝙨 𝙜𝙚𝙣𝙨 𝙖𝙧𝙧𝙞𝙫𝙚𝙣𝙩 𝙖̀ 𝙡'𝙝𝙤̂𝙥𝙞𝙩𝙖𝙡, 𝙖𝙜𝙞𝙧 𝙨𝙪𝙧 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙚́𝙩𝙚𝙧𝙢𝙞𝙣𝙖𝙣𝙩𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚́, 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙚́𝙡𝙚́𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙩𝙧𝙪𝙘𝙩𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙫𝙞𝙚 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚."
Au rang desquels on trouve 𝙡𝙚 𝙡𝙤𝙜𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩, 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙖𝙪𝙨𝙨𝙞 𝙡'𝙖𝙡𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣, 𝙡'𝙖𝙘𝙘𝙚̀𝙨, 𝙮 𝙘𝙤𝙢𝙥𝙧𝙞𝙨 𝙚𝙣 𝙩𝙚𝙧𝙢𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙢𝙤𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙖𝙪𝙭 𝙨𝙤𝙞𝙣𝙨 𝙙𝙚 𝙥𝙧𝙚𝙢𝙞𝙚̀𝙧𝙚 𝙡𝙞𝙜𝙣𝙚.
Retrouvez toute l'intervention de Christine Mahy en cliquant ici.
Un logement, c'est bien plus que quatre murs !
Selon le dernier thermomètre Solidaris Wallonie, la santé et le logement sont fortement liés. Les logements de moins bonne qualité concentrent les familles précarisées et… les soucis de santé.
Discussion autour de cette question dans l'émission Libres, Ensemble, du Centre d'Action Laïque, du 04 février 2024.
𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀, 𝗟𝗲𝗼, 𝟳𝟬 𝗮𝗻𝘀, 𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱 𝗽𝗮𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗿𝗶𝗰𝗵𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲 𝗹𝗮 𝗕𝗲𝗹𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗻'𝗲́𝗹𝗶𝗺𝗶𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́ : 𝗶𝗹 𝘃𝗮, 𝗮̀ 𝗽𝗶𝗲𝗱𝘀, 𝗿𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘀𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́ !
𝟰.𝟲𝟬𝟬 𝗸𝗺 𝗮̀ 𝗽𝗶𝗲𝗱𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝟱𝟴𝟭 𝘃𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗽𝗮𝘆𝘀, 𝗲𝗻 𝟳 𝗺𝗼𝗶𝘀 : 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗶 𝗳𝗼𝘂 𝗾𝘂𝗲 𝘀'𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́ 𝗟𝗲𝗼 𝗩𝗲𝗿𝗰𝗮𝘂𝘁𝗲𝗿𝗲𝗻, 𝟳𝟬 𝗮𝗻𝘀. Au départ d'Ostende, il va rejoindre Herstal pour inviter les gens qu'il va rencontrer à soutenir les associations de lutte contre la pauvreté, Netwerk tegen Armoede, BAPN et le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté.
Pour Leo Vercauteren, la fin de la pauvreté, c'est possible : ”𝘑𝘦 𝘮𝘦 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘯𝘥𝘦 𝘴𝘪 𝘶𝘯 𝘱𝘢𝘺𝘴 𝘳𝘪𝘤𝘩𝘦 𝘰𝘶 𝘶𝘯𝘦 𝘥𝘦́𝘮𝘰𝘤𝘳𝘢𝘵𝘪𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘢𝘤𝘤𝘦𝘱𝘵𝘦𝘳 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘦𝘵𝘦́. 𝙇𝙖 𝙧𝙚́𝙥𝙤𝙣𝙨𝙚 𝙚𝙨𝙩 𝙉𝙊𝙉. 𝘑’𝘢𝘪 𝘣𝘦𝘢𝘶𝘤𝘰𝘶𝘱 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘱𝘦𝘤𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘨𝘦𝘯𝘴 𝘦𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘪 𝘭𝘶𝘵𝘵𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘦𝘵𝘦́.”
Pour Geneviève Baert, experte du vécu au Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté, “𝘊’𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘶 𝘷𝘦́𝘤𝘶 𝘥𝘦𝘴 𝘨𝘦𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘥𝘦́𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘪𝘷𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘭𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘴𝘵𝘳𝘶𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘪𝘯𝘦́𝘨𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́𝘴 𝘦𝘵 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘦𝘵𝘦́. 𝘓𝘦𝘴 𝘮𝘪𝘭𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵·𝘦·𝘴 𝘥𝘶 𝘙𝘞𝘓𝘗 𝘦𝘵 𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘢𝘴𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘢𝘤𝘤𝘰𝘮𝘱𝘢𝘨𝘯𝘦𝘳𝘰𝘯𝘵 𝘓𝘦𝘰 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘯𝘵 𝘴𝘢 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘦𝘳𝘴𝘦́𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘉𝘦𝘭𝘨𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘤𝘶𝘭𝘪𝘦̀𝘳𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘞𝘢𝘭𝘭𝘰𝘯𝘪𝘦.”
𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲, 𝗟𝗲́𝗼 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲𝗿𝗮 𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝘃𝗼𝘂𝘀 !
Pour suivre la Marche de Léo, les étapes, rejoindre l’une de ces étapes, les dates de passage dans votre région, cliquez ici.
Vous voulez aider Leo en lui proposant un endroit où dormir ? Remplissez le formulaire. Le jour même, vous recevrez des informations par SMS sur l’endroit où Léo se trouve.
𝗣𝗼𝘂𝗿 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗹’𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗟𝗲́𝗼 𝗮̀ 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗕𝗲𝗹𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝘂𝘃𝗿𝗲𝘁𝗲́, cliquez ici.
Pour lire l'𝗔𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗔𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗽𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗟𝗲𝗼, cliquez ici.
Mettre la santé au centre de la politique du prochain gouvernement fédéral : c'est ce que veut la Coalition Santé VivreMieux. Mais en changeant de paradigme : la santé ne doit plus être vue comme un domaine à part, avec une enveloppe fermée, qui sert à guérir, principalement. 𝗟𝗮 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗺𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗺𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿, 𝗺𝗶𝗲𝘂𝘅 𝘀𝗲 𝗹𝗼𝗴𝗲𝗿, 𝗺𝗶𝗲𝘂𝘅 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿... 𝗠𝗶𝗲𝘂𝘅 𝘃𝗶𝘃𝗿𝗲, 𝗱𝗼𝗻𝗰!
𝗨𝗻𝗲 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́, 𝗲𝗻𝘃𝗶𝘀𝗮𝗴𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝘃𝗲𝗿𝘀𝗮𝗹𝗲, voilà dans quoi se sont engagés les membres de la coalition, dont fait partie le RWLP : "𝘗𝘢𝘳𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘢 𝘮𝘦́𝘵𝘩𝘰𝘥𝘦 𝘢𝘤𝘵𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘷𝘰𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘥𝘦́𝘨𝘢̂𝘵𝘴 𝘤𝘩𝘦𝘻 𝘭𝘦𝘴 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘧𝘢𝘪𝘣𝘭𝘦𝘴", rappelle Christine Mahy, "𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘦́𝘤𝘦𝘴𝘴𝘪𝘵𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘯𝘴𝘶𝘪𝘵𝘦 𝘣𝘦𝘢𝘶𝘤𝘰𝘶𝘱 𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴 𝘦𝘵 𝘥’𝘢𝘳𝘨𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘳𝘦́𝘱𝘢𝘳𝘦́𝘴".
𝗟𝗲 𝗟𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗻𝗼𝘁𝗮𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗲𝘀𝘁 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗮̀ 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲́... 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗲𝗻𝗱𝗼𝗻𝘀 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗣𝗮𝗰𝘁𝗲 𝗟𝗼𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁-𝗘𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗣𝗼𝗿𝘁𝗲𝗳𝗲𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗣𝗹𝗮𝘁𝘀.
Lisez les articles du Soir ici, de l'Avenir ici et de Sudinfo ici
Communiqué de BAPN :
En Belgique, en 2023, plus de 2 millions de personnes (18,7% de la population !) vivent en situation de pauvreté ou de risque de pauvreté.1 Plus de 1,5 million de personnes (soit 13,2% !) se débrouillent quotidiennement avec un revenu inférieur au seuil de pauvreté européen2. Ces chiffres sont inacceptables pour un pays prospère comme la Belgique. Des solutions existent pourtant, la pauvreté n’est pas une fatalité : elle est le résultat de décisions politiques et de constructions sociales. Si les causes sont structurelles, les réponses doivent l’être aussi. Personne n’est à l’abri de basculer un jour en pauvreté : un accident, un divorce, un pépin de santé, une faillite… tout le monde peut voir du jour au lendemain son univers s’écrouler.
Pourtant, en cette année pré-électorale, le discours ambiant n’a de cesse de pointer systématiquement la faute individuelle. Il ne se passe pas une semaine sans qu’on nous parle en sous-texte du « profiteur qui refuse de travailler », du « fraudeur qui profite des avantages sociaux vautré dans son fauteuil pendant que d’autres doivent s’en sortir avec moins à cause d’un emploi précaire ». Quand il s’agit de s’attaquer au problème de l’endettement, on agite l’épouvantail du « mauvais payeur » qui « pourrait payer, mais ne veut pas » ou celle du « flambeur irresponsable » qui « doit être sanctionné et/ou éduqué ». Quand on questionne la numérisation des services publics, on nous parle du « pauvre sukkeleir » qui n’arrive pas à monter dans le train du numérique, qu’il faudrait par tous les moyens « instruire » pour qu’il endosse à son
tour la charge administrative qui repose désormais sur tout citoyen du monde post-covid.
Ces clichés sont pourtant vite démontés pour peu qu’on prenne le temps de s’intéresser aux études académiques, bien sûr, mais – aussi et surtout ! – de chercher les visages et les histoires qui se cachent derrière les chiffres des statistiques. On découvre alors que vivre dans un contexte de privation et d’exclusion a des conséquences importantes dans tous les domaines de la vie : vivre en précarité implique de reporter des visites médicales, d’économiser l'énergie au point de ne plus cuisiner chaud ou de ne presque plus se doucher, de vivre dans des logements de mauvaise qualité qui ont un impact négatif sur la santé, de s'endetter et de ne plus voir de perspectives, ce qui a un impact négatif sur la santé mentale, les enfants prennent du retard à l'école, etc.
Sur le plan de l'emploi et de la participation à la société, la pauvreté a également un impact négatif : en raison du stress permanent, on finit par avoir une vision en tunnel et il n'y a que peu ou pas d'espace mental pour une approche à long terme. Or, c'est justement ce dont on a besoin pour organiser sa vie (familiale), trouver un emploi, sortir de l’endettement, acquérir de nouvelles compétences numériques, retrouver
sa dignité.
C’est la raison pour laquelle le Réseau belge de Lutte contre la Pauvreté (BAPN) et ses 4 membres régionaux, le Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté, le Forum – Bruxelles contre les inégalités, la
Brussels Platform Armoede et le Netwerk tegen Armoede œuvrent à porter la voix des premières et premiers concerné·es dans le débat public. Une politique à la fois juste et efficace exige en effet que
les décideurs – à quelque niveau que ce soit – recherchent et s’adressent au groupe social concerné et entament un dialogue avec lui. Il s’agit là tout à la fois d’une garantie démocratique et d’efficacité,
puisqu’il a été démontré que la participation conduit à des solutions structurelles efficientes.
La loi votée par le Parlement le 5 octobre dernier instaurant l’obligation pour chaque nouveau gouvernement d’établir un plan fédéral de lutte contre la pauvreté en concertation avec les personnes vivant ou ayant vécu en pauvreté elles-mêmes est une avancée significative en ce sens. Le 17 octobre constitue chaque année une tribune privilégiée pour la voix des premières et premiers concerné.es. Partout en Belgique, des podiums seront dressés, des micros branchés, des banderoles suspendues pour réclamer des solutions structurelles au problème de l’escalade de la pauvreté et des inégalités sociales. Découvrez ci-dessous les initiatives des réseaux de lutte contre la pauvreté auxles initiatives des réseaux de lutte contre la pauvreté aux quatre coins du pays et rejoignez-nous !
- Programme du 17/10
- Politique fédérale, régionale et locale : Sortir humainement de l’endettement : la parole des
premières et premiers concerné.es au centre du débat
- Wallonie : 20 ans et plus… de luttes avec les premières et les premiers concerné.es
- Bruxelles : Bienvenue à Digitopia ! Coup de projecteur sur l’exclusion numérique
- Flandre : Dégagez la route vers le travail inclusif !
Plus d'informations le site de BAPN
Et le programme complet du 17 octobre à Namur sur www.rwlp.be/1710
Le 1er août, le TEC a mis en service dans la zone Gembloux – Basse Sambre un réseau entièrement remanié. Il s’agit de la première phase de mise en application du plan mobilité de la Région wallonne. Quatre communes servent ainsi de « zone test » pour un dispositif qui sera ensuite appliqué progressivement à l’ensemble de la Région wallonne. Si la volonté de départ est honorable (une offre plus lisible et mieux adaptée aux besoins des habitants, attirer de nouveaux usagers, améliorer l’intermodalité, réduire les émissions de CO2…), le résultat est loin de répondre aux besoins. Pire, ce plan risque de détourner la population des transports publics.
Communiqué signé par le RWLP (entre autres)
Lire le communiqué complet ICI
Lire l'article ICI
Une situation qui inquiète, d'autant que les budgets des CPAS ne suivent pas toujours.
"Malheureusement, cette augmentation ne m'étonne pas", explique Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau Wallon de Lutte contre la pauvreté.
"Elle est liée aux évolutions institutionnelles et structurelles de la manière dont le pays gère les droits des gens. Il faut renforcer la sécurité sociale, faire confiance aux gens, croire qu'ils ont envie de faire quelque chose dans la vie et proposer du travail de qualité. Puis il y a bien sûr eu les crises, les crises sanitaires et de l'emploi. Il y a du travail aujourd'hui mais lequel ? A quel condition, de quelle qualité ? Est-ce que la santé le permet ?", s'interroge Christine Mahy.
"Personne ne rêve de ce revenu, ce n'est pas un rêve en soit", continue-t-elle. "Personne ne le veut à vie, pour bien vivre. Si même il y a un maigre pourcentage qui pense cela, la majorité large des gens n'ont aucun désir de pousser la porte du CPAS".
Lire l'article complet ICI
La commission des Affaires sociales de la Chambre a approuvé mardi un projet de loi instaurant l'obligation pour les futurs gouvernements fédéraux d'adopter un plan de lutte contre la pauvreté et les inégalités dans les 12 mois suivant leur installation. Le texte, voté à l'unanimité moins l'abstention de la N-VA, peut désormais être inscrit à l'agenda de la séance plénière.
Une bonne nouvelle!
Lire les articles:
RTL ICI
SUd Info ICI
Des milliers de demandeurs d’asile laissés sur le carreau
Pendant ce temps là…
Le gouvernement affirme qu’il leur est loisible de se réfugier dans les centres d’accueil d’urgence, déjà surchargés, pour lesquels il est impossible de prendre en charge plus qu’il n’est matériellement possible. Il ne reste plus que les lieux publics, parcs, gares, recoins isolés de la ville pour trouver repos. L’Etat ne s’arrête pas là. Les grandes gares se trouvent être les endroits où se rassemblent voyageur·euses, personnes sans abri, sans papiers et en demande d’asile. Depuis quelques semaines, le gouvernement s’est lancé dans une chasse à toute personne installée au sein des gares, et dans ces alentours, police, agents fédéraux de l’office des étrangers, agents de sécurité patrouillent….
Collectifs et associations se sont mobilisés tant bien que mal pour tenter de leur donner un semblant de dignité, dans des campements de fortune le long du canal, par l’occupation de bâtiments vides (allée du Kaai, futur centre de crise fédéral, bâtiment rue de la Loi situé à côté du siège du parti de la secrétaire d’Etat à l’asile et à la migration). Cela n’a rien donné. Ce 21 août, l’Etat a été condamné à prendre en charge l’occupation rue de la Loi, et a une fois de plus décidé d’ignorer le jugement de la justice de paix de Bruxelles.
Le 29 août, Nicole de Moor a communiqué par voie de presse sa décision de suspendre l'accueil des hommes isolés demandeurs d'asile. Elle a été rapidement soutenue dans cette démarche par le Premier ministre puis par l'ensemble du gouvernement. Ce 13 septembre, suite à un xième recours en justice introduit par des organisations, cette décision a été suspendue par le Conseil d’État, la plus haute juridiction administrative, car illégale.
La ligne politique est claire : le gouvernement ne respecte ni ses obligations internationales, ni ses propres lois depuis des mois, et officialise ainsi une politique illégale pourtant déjà condamnée des milliers de fois par le pouvoir judiciaire. Le gouvernement assume ne pas respecter les décisions de justice et met gravement en péril l’Etat de droit en Belgique. La conséquence de cette politique est d’envoyer des centaines de personnes par mois dans la rue.
Il n’y a pas de « crise » de l’accueil. Le nombre de demandes d’asile n’a aucunement dépassé celui de 2015, suite à la guerre en Syrie. Il y a, en revanche, une crise orchestrée par un gouvernement ouvertement dans l’illégalité. Un gouvernement qui organise un crime d’Etat à l’échelle nationale.
Les solutions existent
Depuis deux ans, les associations de terrain ont proposé des solutions concrètes sous diverses formes, dont une feuille de route co-signée par une cinquantaine d’associations de tout le pays, en septembre 2022. Par ailleurs, il existe des mécanismes déjà inscrits dans la loi pour alléger la pression sur Fedasil et Bruxelles, comme le plan de répartition sur les communes. Le gouvernement doit décider de l’activer, ce qu’il refuse catégoriquement de faire depuis deux ans.
Toutes les stratégies ont été utilisées afin de mettre à disposition toutes les solutions possibles au gouvernement. La secrétaire d’Etat reste fermée à toutes ces solutions, à toute aide et à tout soutien de la part du milieu associatif. Il n’est plus lieu de demander, il est l’heure d’exposer ce crime face à l’électorat.