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Accueil
Housing Action Day Liège - 26 mars 2023
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NOS REVENDICATIONS
* gel et encadrement des loyers
* lutte contre les logements inoccupés
* + de logements sociaux et d'alternatives au marché privé
> Arrêt en Outremeuse
> Fin du cortège vers 13h00 : CESE Wallonie - Rue du Vertbois 13c, 4000 Liège
> Trajet de 3 km à pied
Interview de David Praile Du RWDH
CARTE BLANCHE// le RWLP est signataire avec 139 autres asbl, structures...
Plus de 140 citoyen.ne.s, académiques, associations, personnalités et tous les syndicats agricoles exigent du Gouvernement wallon l’arrêt de l’artificialisation des terres fertiles dans le village de Hondelange et partout ailleurs en Wallonie
23 ha de terres agricoles menacées près d’Arlon : il appartient au Gouvernement wallon de mettre fin à l’accaparement des terres fertiles !
Dans le village de Hondelange, plusieurs familles d’agriculteur.trice.s risquent de perdre 23 ha de terres agricoles reconnues de très bonne qualité, en raison du projet d’extension du parc d’activité économique (PAE) Weyler-Hondelange porté par IDELUX, l’intercommunale de développement de la Province de Luxembourg. Un bois de 5 ha pourrait également faire les frais de l’agrandissement du parc d’activité (ou zoning). Comme ces terres sont inscrites en zone agricole au plan de secteur, une modification de ce dernier est requise. Le Gouvernement wallon a annoncé qu’il se prononcera en avril.
En Wallonie, un peu plus de 100.000 ha sont encore constructibles. La lutte contre le dérèglement climatique, la préservation de la biodiversité et l’atténuation des risques d’inondations, notamment, ont amené les responsables politiques à déclarer vouloir progressivement mettre fin à l’artificialisation des sols. Une réflexion est en cours sur la façon dont le nombre des terres constructibles peut être réduit, dans une perspective « d’optimisation spatiale ». A contre-courant de ce mouvement, le projet d’IDELUX vise la bétonisation de terres fertiles actuellement non
constructibles. Comme le prévoit la loi, des compensations sont envisagées mais celles-ci s’avèrent en l’occurrence totalement fictives, les prairies – inondables – proposées comme compensation n’auraient jamais accueilli de construction et sont tout à fait impropres à une agriculture nourricière, précisément parce que régulièrement inondées.
Les agriculteur.trice.s menacé.e.s par IDELUX sont issus de familles paysannes installées depuis plusieurs générations, avec des enfants qui ont déjà repris ou vont reprendre les exploitations. Les deux fermes principalement concernées sont en polyculture, élevage et
bétail viandeux de race limousine. La partie bétail est en agriculture biologique et l’exploitation est autonome pour l’alimentation du bétail ; le fumier des bovins permet de fertiliser les prairies et les cultures. Le blé, en partie bio, en partie labellisé « de terroir », est
vendu au moulin tout proche de Kleinbettingen. Le changement vers une agriculture de conservation des sols est en cours : un travail minimum des sols et un maximum de couverts végétaux, pour préserver la vie dans le sol, conserver ses propriétés physiques et augmenter les taux d’humus.
Alors que se pose la question de l’autonomie alimentaire, faut-il rappeler que la FAO classe la Belgique parmi les pays les moins autosuffisants pour leur alimentation ? Artificialiser 23 ha de terre agricole équivaut à se rendre encore un peu plus dépendant des aléas de la géopolitique et de l’économie mondiale, en contradiction totale avec les intentions affichées de la Région wallonne.
Faut-il par ailleurs rappeler que le prix des terres agricoles, objet de spéculation, ne cesse d’augmenter, a fortiori dans cette région frontalière du Luxembourg, avec une totale impossibilité pour les fermiers de retrouver de bonnes terres ?
A cette réalité, IDELUX oppose la nécessité de répondre à la demande d’espaces pour implanter l’activité économique, passant sous silence que l’activité agricole l’est aussi. Les PME ne disposeraient plus de lieux où s’établir dans les environs d’Arlon ; il conviendrait donc impérativement d’agrandir le PAE Weyler-Hondelange.
Sans aborder ici la question de la nature-même des activités accueillies sur le zoning, ni celle de leur impact effectif sur l’emploi, ni encore les problématiques de l’écoulement des eaux et de la mauvaise desserte en transports publics des lieux, relevons simplement qu’IDELUX n’a eu de cesse, au cours de la procédure d’examen de la demande, de gonfler artificiellement les chiffres concernant la demande d’espaces pour les entreprises et, à l’inverse, de sous-évaluer l’offre de terrains disponibles. Le pôle Environnement du Conseil économique, social et environnemental de Wallonie a relevé, dans son récent avis défavorable, que des
terrains peuvent être trouvés ailleurs à proximité, que ceux-ci soient directement urbanisables ou non, comme les friches industrielles ou ferroviaires. Mais IDELUX a tendance à agir comme un promoteur immobilier, privilégiant les espaces à haut potentiel de plus-value, c’est-à-dire, les plus faciles à mettre en œuvre. Pas surprenant pour une intercommunale qui finance son secteur Développement par le bénéfice engendré sur la vente de terrains, acquis et équipés grâce à diverses aides publiques. De ce point de vue, il est interpellant que l’autorité régionale ne cherche pas à faire évoluer les modes de financement des intercommunales de développement, afin de les pousser à enfin devenir plus économes en artificialisation des terres.
Récemment, pour contrer les nombreuses oppositions manifestées à l’encontre du projet, l’intercommunale a proposé un phasage, c’est-à-dire une occupation progressive. Cette approche est un leurre : elle aboutirait à concentrer toute nouvelle implantation à cet endroit afin d’en justifier la nécessité et à toujours ignorer les espaces disponibles ou mobilisables ailleurs. En somme, voici un organisme public qui agit, in fine, pour assurer sa propre existence, une structure qui fonctionne sur et pour soi. Pour preuve : alors même que les deux communes concernées, Messancy et Arlon ont officiellement fait connaître leur opposition à l’artificialisation des meilleures terres agricoles, l’intercommunale s’obstine à maintenir inchangée sa demande de modification du plan de secteur.
Cet entêtement est d’autant moins compréhensible que la population locale s’est largement mobilisée pour soutenir les agriculteur.trice.s menacé.e.s. Plus de 3500 signatures ont été
réunies pour appuyer une demande d’audition au Parlement wallon (un record), tandis que l’enquête publique avait déjà suscité quelque 2400 oppositions.
Saisie du dossier, la Commission de l’économie, de l’aménagement du territoire et de l’agriculture de l’assemblée wallonne s’est cantonnée à rappeler la compétence du gouvernement régional, ses membres ne parvenant pas à s’accorder pour formuler des
recommandations à l’attention de l’exécutif. Pourtant, la lutte contre le changement climatique, la préservation de la biodiversité et la souveraineté alimentaire sont des exigences supérieures qui requièrent des décisions fermes et concrètes. Le gouvernement ne
pourra ignorer l’importante mobilisation citoyenne et les demandes claires des communes en faveur de la protection de bonnes terres à Hondelange. Il lui appartient de préserver cette ressource nourricière et de permettre ainsi aux fermier.ière.s de poursuivre leur activité
essentielle dont chacun.e de nous est dépendant.e au quotidien !
* Pour voir les signataires ICI
Journée Mondiale pour les DROITS des femmes
En ce 8 mars 2023, les femmes doivent toujours se battrent pour leurs droits!
Le RWLP soutient les actions qui auront lieux partout en belgique et se joindra aux actions à Namur, les infos-> https://fb.me/e/1342NqaEr pour dénoncer les inégalités subies toujours ++ par les femmes!
* Lire le communiqué de presse "Paysannes et allié·e·s se rassemblent pour la Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes" le RWLP est Membre de Agroécology in action - et soutient ce communiqué!
ANALYSES// La future composition des cellules de sécurité intégrale locales en matière de radicalisation, d’extrémisme et de terrorisme, déjà une victoire du terrorisme?
Le Centre de ressources du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté (CR-RWLP) souhaite partager ses fortes inquiétudes concernant l’avant-projet de décret organisant la participation des services relevant des compétences de la Communauté française aux cellules de sécurité intégrale locales en matière de radicalisme, d’extrémisme et de terrorisme.
Dans le cadre d’une analyse rédigée conjointement avec l’ASBL RTA nous expliquons notre point de vue.
MEDIAS// Carte Blanche - Démantèlement du tarif social pour les bénéficiaires du statut BIM : une mesure désespérante
Communiqué de presse: La suppression progressive du tarif social élargi aggravera la pauvreté
Le 6 février, le gouvernement fédéral a décidé de supprimer progressivement l'extension du tarif social au statut BIM. Cela signifie qu’environ 400 000 familles dont le revenu est inférieur ou égal au seuil de pauvreté (soit 800 000 personnes au total) seront poussées plus encore dans la pauvreté. Pour les réseaux de lutte contre la pauvreté réunis au sein de BAPN , il est incompréhensible que cette mesure soit supprimée sans politique structurelle en contrepartie.
L'un des arguments du gouvernement fédéral pour revenir sur l'élargissement du tarif social est que les prix de l'énergie sont en baisse. C’est ignorer le fait que la pauvreté énergétique est un problème majeur dans notre société et cela avant même la crise du Covid où une famille sur cinq avait déjà de grandes difficultés à payer ses factures d'énergie. Les crises successives (covid, inflation, énergie, inondations en 2021, sécheresse en 2022,...) qui ont entraîné une augmentation exponentielle du coût de la vie n'ont fait qu'aggraver ce problème. En outre, l'évolution des prix de l'énergie reste très incertaine, alors que les prix d’autres produits de base, comme les denrées alimentaires, sont toujours en hausse. Ces coûts pèsent lourdement sur le budget des personnes en situation de pauvreté, notamment sur les 400 000 familles qui paieront bientôt beaucoup plus pour leurs factures d'énergie.
Nos organisations regrettent également que la suppression progressive du tarif social élargi crée des inégalités entre les familles ayant des revenus similaires. L'élargissement du tarif social est justement une bonne mesure, car elle protège les personnes en situation de pauvreté contre la précarité énergétique, en fonction de leurs revenus (et pas seulement de leur statut). Les personnes ayant un faible revenu avec un emploi précaire ou temporaire seront particulièrement impactées par cette décision. Pour nos organisations, dans le contexte actuel, il est difficile de comprendre pourquoi le gouvernement ne rend pas structurelle une mesure ciblée visant à protéger les plus fragilisés de notre société, tout en maintenant une baisse générale de la TVA, une mesure coûteuse qui s'applique aussi aux personnes qui n'en ont pas besoin.
À court terme, la suppression de tarif social élargi pourra peut-être apporter un léger soulagement au budget public, mais à moyen et long terme, les coûts sociaux seront énormes. Ces familles appauvries auront encore plus de mal à payer leurs factures, ce qui entraînera une augmentation des dettes, du stress et des problèmes sur le plan de la santé mentale, du report de soins de santé, des expulsions et des situations de sans-abrisme, etc.
Les réseaux de lutte contre la pauvreté réunis au sein de BAPN demandent donc au gouvernement fédéral de revoir d'urgence cette décision et de travailler sur des mesures structurelles comme:
- Relever les revenus et les allocations les plus faibles au-dessus du seuil de pauvreté européen
- Un pacte logement-énergie porté par les différents gouvernements de notre pays impliquant des investissements massifs dans l'isolation des bâtiments, à commencer par les logements du marché privé et public destinés aux personnes à faibles revenus et à la classe moyenne inférieure.
- Impliquer les personnes en situation de pauvreté et les organisations qui les représentent dans la réforme du tarif social
Dans la presse: RTBF / MOUSTIQUE
Le RWLP recrute de toute urgence un.e assistant.e social.e dans le cadre d’un contrat de remplacement pour le dispositif d’urgence sociale 1718
Le/la candidat.e aura :
- une grande capacité d’empathie, d’écoute et de respect
des capacités humaines, relationnelles et d’interaction à l’égard des personnes en grandes difficulté
une capacité d’autonomie et de prise d’initiative en cohérence avec les objectifs du RWLP et de la Région Wallonne
une expérience au niveau de la communication et de la transmission d’informations
un intérêt pour la lutte contre les inégalités
une attention particulière à faire équipe avec ses collègues
Pour cela il/elle :
- sera en liaison avec ses collègues, la coordination et la secrétaire générale
Il/elle bénéficiera :
d’un contrat de remplacement de préférence à temps plein (cette offre est également accessible pour un temps partiel), avec possibilité de prolongation après évaluation
d’un salaire en lien avec la SCP 329.02 (barèmes RW)
d’une possibilité de reprise d’ancienneté sectorielle après examen du parcours professionnel
d’un ordinateur et d’un gsm professionnels
Toute candidature (CV et lettre de motivation) est à adresser au plus vite par mail à l’adresse suivante (recrutement@rwlp.be)
Communiqué de presse: Les associations de personnes en situation de pauvreté en dialogue avec la ministre Lalieux
Bruxelles, 31 janvier 2023
A l'initiative du BAPN (Réseau Belge de Lutte contre la Pauvreté) [1], la ministre fédérale Karine Lalieux, en charge de la lutte contre la pauvreté, s'est rendue le 31/1/2023 pour discuter avec des personnes ayant une expérience de la pauvreté issues d'associations bruxelloises, flamandes et wallonnes. Ils ont discuté de la mise en oeuvre du plan fédéral de lutte contre la pauvreté et l’inégalité. Ce plan est essentiel pour la lutte contre la pauvreté en Belgique, car il donne une orientation et comprend les mesures à prendre au niveau fédéral.
Un groupe croissant de personnes en situation de pauvreté, qui comprend également de plus en plus de personnes issues de la classe moyenne inférieure, éprouve des grandes difficultés à survivre dignement dans cette crise du pouvoir d'achat. Il est donc positif que la ministre utilise l'expertise et l'expérience de ces personnes pour poursuivre la mise en oeuvre du plan fédéral de lutte contre la pauvreté.
La ministre et les participants ont eu un échange intensif sur des questions urgentes que sont le sans-abrisme, l'accès difficile aux soins de santé pour les personnes ayant un statut de résidence précaire, les seuils de l'aide sociale du CPAS, la fracture numérique, la baisse du pouvoir d'achat et la pauvreté énergétique.
Fernando : “Je veux et je peux travailler, mais je n'ai pas d'adresse de référence et ne peux donc pas sortir du cycle du sans-abrisme. Je n'ai jamais été sans abri auparavant.”
Anne: “Je suis une mère seule avec deux enfants. Je n'ai pas de compteur à budget et aucun moyen de le recharger. L'électricité a été coupée. Alors que l'enquête sociale est en cours, je n'ai pas d'électricité.”
Anahit: “J'aimerais vraiment inscrire mes enfants aux plaines de jeux, mais je ne sais pas comment le faire sur l'ordinateur. Je prends rendez-vous avec mon assistante sociale, et ensemble nous faisons l'inscription. Ensuite, les e-mails de confirmation, les instructions de paiement, etc. arrivent également sur son ordinateur, et je dois y aller à chaque fois pour tout récupérer.”
Les réseaux de lutte contre la pauvreté ont discuté des recommandations politiques avec la ministre, sur la base des contributions et des expériences des personnes en situation de pauvreté. Ainsi, le BAPN a formulé six recommandations à l'intention de la ministre:
- un meilleur accès à l'adresse de référence pour les personnes sans abri ;
- renforcer les compétences numériques par une approche sur mesure pour les personnes vulnérables ;
- un meilleur accès aux soins de santé pour les personnes sans papiers ;
- une aide plus attentive de la part des services sociaux du CPAS ;
- ancrer l'extension du tarif social de l'énergie pour les personnes en situation de pauvreté et une extension progressive aux personnes de la classe moyenne inférieure qui ne peuvent plus joindre les deux bouts ;
- un pacte logement-énergie au service d'une politique climatique socialement juste.
En outre, étant donné l'importance de l’expertise des personnes en situation de pauvreté pour parvenir à une mise en oeuvre efficace du plan fédéral de lutte contre la pauvreté et l'inégalité, le BAPN a demandé que la participation des personnes en situation de pauvreté soit inscrite dans la loi que la ministre veut créer afin que le gouvernement fédéral soit obligé d'adopter un plan fédéral de lutte contre la pauvreté et l'inégalité à chaque législature. La ministre a déclaré l'importance accordée à la participation directe des personnes en situation de pauvreté à la politique de lutte contre la pauvreté et s'est engagée à poursuivre le dialogue.
Ministre Lalieux: “Il est très important pour moi de rencontrer des personnes ayant une expérience de la pauvreté. Leur contribution est toujours une source d'inspiration pour mes politiques de lutte contre la pauvreté. Chaque jour, ils vivent la réalité de la pauvreté. En tant que ministre j'en tiens toujours compte. Nous avons alors rédigé un plan fédéral de lutte contre la pauvreté et les inégalités ensemble avec les personnes concernées et avec des représentants de la société civile.” Les réseaux de lutte contre la pauvreté continueront à prendre le pouls de la ministre pour lutter ensemble contre la pauvreté.
Contact : Caroline Van der Hoeven - Tel: +32 (0)2 265.01.53 GSM: +32 (0)474 55.96.11 Email: caroline.vanderhoeven@bapn.be
[1] BAPN représente aux niveaux fédéral et européen les quatre réseaux régionaux de lutte contre la pauvreté et leurs associations membres où les personnes en situation de pauvreté prennent la parole. Il s'agit des réseaux suivants : le Netwerk tegen Armoede (NTA), le Réseau de Lutte contre la Pauvreté (RWLP), le Forum - Bruxelles contre les Inégalités (Le Forum), le Brussels Platform Armoede (BPA).
BAPN fait également partie du Réseau européen de lutte contre la pauvreté (EAPN).
Inscription en première année du secondaire
Le temps est court, et ce n'est pas simple pour les parents d'inscription en première année dans l'enseignement secondaire leur enfant.
C'est pourquoi le Centre de ressources du RWLP (CR-RWLP) a créé un note qui est le fruit d'un travail avec l'administration de la FWB en charge de cette matière et la Cellule pauvreté notamment, pour simplifier, expliquer, faciliter. Le But? aider les familles bien sûr!
L'inscription d'un enfant en première année du secondaire est importante, mais administrativement pas si simple.
Nous sollicitons les associations :
- pour que vous répercutiez l'information à travers vos activités et réseaux humains, ainsi que sur vos sites et réseaux sociaux, afin d'informer le plus largement possible les parents concernés en 2023 ;
- pour que vous aidiez vous-même des parents dans le désarroi pour réaliser cette inscription.
Nous informons les parents :
- pour que vous trouviez de l'aide à travers ce document, mais pour vous dire aussi de ne pas hésiter à questionner des associations et services dont vous êtes proches localement pour vous aider.
Nous restons à votre disposition par rapport à ceci, espérant que ce travail sera un petit coup de pouce pour cette importante démarche.
Pour le Centre de ressources-RWLP
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